NumWorks passe du venture au LBO à l’occasion de son acquisition par Aldebaran

Véritable prodige de la conception graphique parisien de calculatrice, NumWorks, conseillée par Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Antoine Lamy et Clémence Bressolin) passe du venture au LBO à l’occasion de son acquisition par Aldebaran, concepteur en robotique,  qui signe son premier investissement de son fonds ATF I.

Il y a peu de start-up qui passent du financement de capital-risque au LBO. NumWorks rejoint ce groupe restreint grâce à une opération de MBO primaire. Cette transaction, facilitée par Alantra, permet à Romain Goyet, le fondateur de l’entreprise parisienne spécialisée dans la conception et la distribution de calculatrices graphiques, qui réalise actuellement un chiffre d’affaires de 15 à 20 millions d’euros, de céder les rênes à son équipe de direction.

 

Léo Solé, auparavant directeur des opérations, devient président, et Clothilde Relin, directrice du marketing et des ventes, devient directrice générale. Emilie Feral, déjà ingénieure au sein de la start-up, est nommée à la tête de la direction de la recherche et développement et des aspects techniques. Cette transition est soutenue par Aldebaran, qui acquiert la majorité des actions en investissant une somme comprise entre 15 et 60 millions d’euros. Il s’agit de la première prise de participation de leur fonds ATF I, qui avait réalisé une première clôture à 130 millions d’euros en juillet 2021.

 

Le processus de collecte de fonds, qui avait pour objectif d’atteindre 300 millions d’euros, touche à sa fin, bien que le gestionnaire ne divulgue pas le montant actuellement réuni. Oriane Durvye, associée gérante chez Alantra, présente l’entreprise comme une véritable pépite technologique française, ayant réussi à perturber le duopole établi par deux géants mondiaux. L’entreprise est rentable et en pleine croissance, suscitant ainsi un fort intérêt de la part des family offices et des fonds agiles. Cette opération se distingue en raison de sa position « monoproduit », ce qui la rend particulièrement attrayante.

 

 

« Nous soutenons donc la direction dirigée par Léo Solé dans son expansion, notamment par le futur recrutement d’un directeur financier. NumWorks s’est imposée en France et notre ambition est désormais de développer sa présence à l’international, en Europe et aux États-Unis. De plus, nous prévoyons de numériser davantage notre gamme de produits. Ce plan de croissance vise à multiplier par deux ou trois le nombre de calculatrices vendues à moyen terme pour une entreprise qui compte actuellement 25 employés » explique Amélie Brossier, présidente-fondatrice d’Aldebaran.

 


 

Precitrame Machines SA signe l’acquisition de ESPI SAS

Precitrame Machines SA : Retrouvez le communiqué de presse officiel de Precitrame Machine SA ici.

 

Joffe & Associés (Aymeric Dégremont, Blaise Deltombe et Antoine Lamy) conseille la société Precitrame Machines SA, leader dans le domaine de la machine de transfert de précision, dans son acquisition à 100% du capital de ESPI SAS, société spécialisée dans les solutions matérielles et logicielles, de pilotage des machines-outils.

 

« La complémentarité des deux sociétés en termes de compétences et de produits, ainsi que les synergies croissantes entre les mondes de l’usinage et du contrôle ont rendu ce rapprochement évident », stipule  Olivier Voumard, directeur général de Precitrame Machines.

 

Precitrame Machines SA conçoit, développe et produit des solutions innovantes pour la fabrication et la terminaison de composants micromécaniques complexes dans le domaine de l’usinage de précision.

 

Cette opération s’inscrit dans la logique de diversification et de consolidation de Precitrame Machines sur le marché, et permet de renforcer ESPI, tout en garantissant la pérennité des compétences, des produits et des emplois. Établie et reconnue, ESPI reste une entité et une marque propre.

 

Precitrame Machines a réalisé, ce 2 juin 2023, l’acquisition dans son intégralité du capital-actions de ESPI, société Lyonnaise, et de sa société fille ESPI Suisse à Yverdon.

 

Cette acquisition va permettre à Precitrame de se concentrer à l’avenir sur les solutions dédiées à la production et à l’usinage, et placer ESPI comme un leader des solutions de contrôle et de mesure tridimensionnelle à très haute vitesse.

 

Cette opération va également permettre à Precitrame Machines de renforcer sa présence sur le marché Français de la machine-outil suisse, et sa présence à l’international, ainsi que son positionnement comme fournisseur complet de solutions.

Irbis Group accueille IK Partners à son capital

Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Aymeric Dégremont, Camille Malbezin, Clémence Bressolin, Virginie Davion et Clément Peillet) conseille le groupe Irbis, spécialiste de l’assurance-vie, dans le cadre d’un LBO primaire aux cotés d’IK Partners en minoritaire, Nextage AM et de Matignon Investissement et Gestion, actionnaires historiques.

 

Le groupe Irbis Finance (Linxea et Irbis solutions), porté par Antoine Delon et Yves Conan, et accompagné depuis 2015 par NextStage AM et Matignon investissement et gestion, ouvre son capital à IK Partners dans le cadre du développement de ses solutions. Cette opération a été pilotée, à l’occasion d’un LBO primaire, par Cambon Partners.

 

Linxea est une plate-forme dématérialisée spécialisée dans la création et la distribution on-line de contrats d’assurance vie ; grâce à cette opération, le nombre de fonds de private-equity disponibles au sein des contrats d’assurance vie et de PER s’élève aujourd’hui à neuf. La société est passée de 20 000 clients et 800 M€ d’encours sous gestion en 2015 à 90 000 clients et 2,8 Md€ d’encours sous gestion aujourd’hui. Le groupe a ainsi multiplié par dix ses revenus en seulement sept ans.

 


 

Hygie31 poursuit sa croissance avec l’acquisition du groupe Elsker

Retrouvez l’article original de CFNEWS ici.

 

Hygie31, véritable référence des réseaux Pharmacie Lafayette et Pharmacorp, acquiert Elsker Group à Roubaix. La société Toulousaine, conseillée par Joffe & Associés (Christophe Joffe , Camille Malbezin et Carla Ferron) dans le cadre de cette opération, prend en effet la majorité du capital de Elsker aux côtés des trois fondateurs.

 

Le développement se poursuit pour Hygie31. La société devient en effet un actionnaire majoritaire du groupe Elsker, acteur important du domaine de la pharmacie, basé à Roubaix. Fondé en 2009 par Cyril Tétart, Alexis et Gaétan Bocahut, Eslker réunit aujourd’hui les réseaux Pharmacyal de 127 pharmacies indépendantes de proximité, en réalisant 225 millions d’euros de chiffre d’affaires, la centrale d’achat pharmaceutique Norcap et le distributeur de matériel médical Mieux vivre à domicile, qui dessert 350 pharmacies et magasins. Il a enregistré un chiffre d’affaires de 245 millions en 2022, en hausse de 12 %.

 

Les fondateurs du groupe, restent à la tête de celui-ci, et estiment l’augmentation des pharmacies du réseau à 200, d’ici à cinq ans.

Le process, lancé en fin d’année dernière par Septentrion, a suscité l’intérêt des acteurs du secteur parmi lesquels quatre auraient formulé une offre.

 

« Le dossier a été très regardé mais, rapidement, Hygie31 a su se positionner pour remporter ce deal », explique Guillaume Dubois, associé au sein du cabinet de conseil M&A. Le groupe toulousain, soutenu par Latour Capital et Bpifrance qui ont pris le relais de FAPI l’été dernier, n’en est pas à son coup d’essai. Début 2022, il a repris Gener +, la holding du réseau de 740 pharmacies sous l’enseigne Pharmacorp et ses 750 M€ de volume d’affaires et, quelques mois plus tard, franchissait les frontières en signant la reprise d’un groupement de 156 pharmacies (200 M€ de revenus) en Catalogne, Ecoceutics.

 

« Ce rapprochement nous permet de consolider notre approche du marché de la pharmacie française en proposant des modèles complémentaires (pharmacie sous enseigne avec Pharmacie Lafayette ou traditionnelle avec Pharmacorp et Pharmacyal) pour conforter la pharmacie comme premier-relais santé des Français, a expliqué son président, Hervé Jouves, dans un communiqué. Il confirme également notre volonté d’accueillir des groupements régionaux de pharmacies de proximité et de les accompagner dans leur développement. »

 


 

Saas.group renforce sa position sur le territoire avec Beekast

Saas.group, entreprise spécialisée dans le développement et l’acquisition de startups liées aux domaines des logiciels en tant que service (SaaS), a annoncé en ce mois de mai 2023, son acquisition de Beekast, une plateforme collaborative française accompagnant les entreprises au quotidien dans la création, l’animation et le suivi de réunions et formations. Cette acquisition vise à renforcer la présence de Saas.group sur le marché français.

 

L’acquisition de Beekast fait suite à celle de Crosstalent en France, fournisseur d’outils RH pour les moyennes et grandes entreprises et s’inscrit dans la volonté du groupe de renforcer sa présence sur le marché français, où l’entreprise compte désormais près de 40 salariés. Beekast, société fondée en 2015 par Yassine Chabli, fondateur et CEO de la start-up, compte aujourd’hui plus d’un million d’utilisateurs actifs sur près de 1000 entreprise partenaires (dont Google, l’ESSEC ou encore Action Logement Services).

 

Grace à cette acquisition, Beekast continuera d’être une entreprise française indépendante, renforçant ainsi la présence de Saas.group sur le marché français. Saas.group a en effet acquis quatorze entreprises à ce jour, dont Beekast, Crosstalent, Tower, Rewardful, Prerender, Juicer, Seobility, et d’autres. Avec près de 180 employés, répartis sur une vingtaine de pays différents, le groupe cherche à développer et proposer des solutions de développement en ligne, et du commerce électronique, auprès des entreprises spécialisées dans le marketing, des ressources humaines ou encore dans la formation en ligne.

 

Joffe & Associés (Christophe Joffe, Charlotte Viandaz et Oriana Castelli) est intervenu auprès des actionnaires de Beekast dans le cadre de cette opération.

 


 

Pony lève 6 millions d’euros pour le développement de son offre de free floating

Retrouvez le post original du compte Linkedin de Pony juste ici.

 

La société Pony, qui offre des vélos et des trottinettes électriques haut de gamme en libre service, disponibles à la location directement depuis un smartphone, annonce une levée de près de 6 millions d’euros dans le but de proposer des solutions intelligentes et innovantes, pour éviter les erreurs qu’ont connu certaines villes.

 

 

Fondée en 2017 à Oxford par un couple de Français (Clara Vaisse et Paul-Adrien Cormerais), cette start-up s’est vite relocalisée en France (plus précisément à Angers) , et est aujourd’hui la seule entreprise Française à proposer des vélos et des trottinettes électriques en free floating (Le free-floating est une forme de mobilité partagée qui consiste à laisser à disposition du public un véhicule sans que celui-ci ne soit rattaché à une station ou une borne).

 

Pour son second tour de table, et dans le cadre du développement de sa solution, l’entreprise Angevine (conseillée par Joffe & Associés) annonce une levée de fonds de près de 6 millions d’euros. La société lève en effet 4,5 M€ auprès de nouveaux entrants : Épopée Gestion et Aquiti Gestion. Ils sont accompagnés par leurs investisseurs historiques Demeter Investment Managers, arrivé lors du premier amorçage de 2,2 M€ en 2019. Le montant est aujourd’hui à hauteur de 6 millions d’euros, par de la dette souscrite auprès d’un pool de partenaires bancaires composé de BNP Paribas, CIC et BPRI.

 

Paul-Adrien Cormerais, co-fondateur de Pony, explique que « sur notre marché, nous estimons que nous pouvons franchir la barre des 100 M€ de chiffre d’affaires après les élections municipales de 2026 ». Actuellement, la société compte une trentaine de salariés, permettant à celle-ci de fournir plus de 15 villes partenaires pour plus de 500000 utilisateurs en France.

 


 

Joffe & Associés conseille la société OSO-AI dans le cadre de sa seconde levée de fonds

Retrouvez l’article original de « L’usine Digitale » ici.

 

La société Brestoise OSO-AI, est parvenu à lever près de 10 millions d’euros, dans le cadre du développement de son oreille augmentée, qui alerte les soignants lors d’un bruit inquiétant dans la chambre d’un patient. Par le biais de cette nouvelle opération, la start-up brestoise entend accélérer le déploiement commercial de sa solution, en France comme à l’étranger. 

 

 

Afin de répondre à la forte demande, la société annonce une levée de fonds de près de 10 millions d’euros, auprès d’actionnaires historiques conseillés par Joffe & Associés, que sont Innocavom, Novinvest Partners et Breizh-up, rejoints par Cemag Invest Partners. Cette opération fait suite à un premier tour de table de 4 millions d’euros, datée de septembre 2020.

 

Oso-Ai a développé un système de prévention, basé sur des algorithmes ayant la capacité de reconnaitre plus d’une centaine de sons et de bruits classes, (chutes, gémissements, des chocs, la respiration, des pas …). Équipé de micros et de capteurs, ce boîtier mural analyse l’environnement sonore d’une personne vulnérable et génère une notification sur une application mobile, dont est équipé le personnel soignant, si ce boitier témoigne d’une situation anormale ou préoccupante.

 

Plus d’une vingtaine d’EHPAD et d’établissements de santé, sont aujourd’hui équipés du boitier de OSO-AI. Olivier Menut, co-président et co-fondateur d’Oso-Ai, exprime que : « Nous sommes dans une dynamique positive qu’il va falloir soutenir. Nous avons près de 1000 dispositifs installés en France et tablons sur près de 3000 d’ici à la fin de cette année ». Mais la société compte aussi s’ouvrir à un marché : les personnes fragiles résidant à domicile, en B2B2C via des partenaires.

 

« Faire émerger sur le territoire, des acteurs forts et ambitieux qui auront un impact économique et social pour la Bretagne de demain est l’un des objectifs de Breizh Up. Par la force de sa solution de rupture dans le domaine de l’IA pour l’analyse du son, la qualité de ses équipes, la profondeur de son marché, la portée responsable de sa solution qui permet une amélioration de la qualité des soins, et de la qualité de travail du personnel soignant, en réduisant son stress et en lui permettant de se concentrer sur son métier, nous sommes très fiers d’accompagner le développement de cette emblématique startup finistérienne soutenue depuis sa création par le dynamisme de tout un écosystème local »,exprime Stéphane Lefevre-Sauli, directeur d’investissement de UI Investissement et en en charge de la gestion de Breizh Up.

 

 


 

 

 

Hinfact décolle grâce à une levée de fonds de 4 millions d’euros

Retrouvez l’article original ici.

 

La start-up toulousaine Hinfact, proposant aux centres de formation des pilotes de ligne une solution d’analyse poussée, a bouclé sa première levée de fonds près de de 4 millions d’euros, dans le cadre de l’accélération de la commercialisation de ces solution, et d’étendre celles-ci à de nouveaux secteurs tels que l’armée, le nucléaire ou la santé.  

 

Après avoir validé sa technologie, et convaincu ses premiers clients, Hinfact annonce, ce 12 avril 2023, une première levée de fonds de 4 millions d’euros. Un mix entre dettes et fonds propres auquel la société de capital risque Innovacom, conseillée par Joffe & Associés, a participé à hauteur d’1,5 million d’euros, qui mobilise d’ailleurs son fonds « early-stage » Technocom 3, ainsi que par plusieurs business angels.  L’objectif est simple : accélérer le développement industriel et commercial de ses solutions, et étendre sa technologie à d’autres secteurs diversifiés.

 

Hinfact travaille avec des centres de formation de compagnies aériennes du monde entier. Sa technologie, à la pointe de la recherche en neurosciences, se base sur des neurotransmetteurs et stimulateurs appliqués aux pilotes, qui visent à améliorer la sécurité des vols à travers trois axes : la formation des pilotes, la conception des aéronefs et les opérations aériennes. Ainsi, la start-up Toulousaine, propose ainsi un outil permettant de récupérer, d’analyser et d’interpréter les données de pilotages et les données oculaires des pilotes au sein des  stimulateurs dans le but de détecter de manière objective les axes d’amélioration de ceux-ci. Une solution proposée et commercialisée depuis mars 2022, et qui devrait accélérer en 2023, avec notamment le doublement de l’effectif de l’entreprise, constituée aujourd’hui d’une dizaine d’effectifs. 

 


 

Pricemoov réalise un tour de table de 10 millions de dollars

La société Pricemoov, basée à Paris, a annoncé mercredi qu’elle avait levé 10 millions de dollars (environ 9,1 millions d’euros) lors d’un tour de table de série A, mené par ISAI et Bpifrance Digital Venture.

 

Une société à l’ascension fulgurante

 

Aujourd’hui, avec l’inflation, les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et la volatilité des coûts, les clients et consommateurs s’attendant à une certaine transparence avec les entreprises, sur tous les canaux ;  celles-ci doivent examiner attentivement leurs stratégies de tarification pour s’assurer qu’elles restent compétitives, tout en réalisant des bénéfices. C’est là que Pricemoov intervient.

 

En 2018, Pricemoov avait deja réalisé une levée de fonds de près de 2 M€ auprès de Global Founders Capital, Kima Ventures et Financière Saint James. A cette époque, cet éditeur d’une solution de tarification dynamique multisectorielle revendiquait environ une dizaine de clients. Si la société demeure discrète aujourd’hui sur le nombre d’utilisateurs, PME et ETI confondues, « elle a su attirer de belles références, notamment aux États-Unis, où elle s’est implantée depuis près de deux ans, le dirigeant Pierre Hébrard s’étant installé sur place », affirme François Colletpartner au sein d’Isai.

 

 

De solides investisseurs

 

ISAI Gestion, société de gestion agréée par l’AMF avec plus de 500 M€ sous gestion, a pour objectif de financer et d’accompagner des entreprises technologiques à fort potentiel en phase d’amorçage/post-amorçage ou lorsqu’elles ont déjà atteint le seuil de rentabilité. « Nous sommes impressionnés par l’expertise de Pricemoov en matière de prix et par les capacités de sa plateforme, et nous pensons que la société est bien positionnée pour accélérer sa croissance sur ce marché prometteur », déclare François Collet. « Nous sommes impatients de travailler en étroite collaboration avec l’équipe dirigeante de Pricemoov pour continuer à repousser les limites de la tarification », ajoute t-il.

 

Bpifrance Digital Venture finance les entreprises à tous les stades de leur développement avec des crédits, des garanties et des fonds propres. Outre l’investissement, la société de capital-risque propose également des services de conseil, de formation, de mise en réseau et un programme d’accélération pour les startups, les PME et les entreprises de taille intermédiaire.

 

« Nous pensons que Pricemoov a l’opportunité d’apporter une tarification intelligente aux entreprises à n’importe quel stade de leur maturité tarifaire avec une plateforme intuitive et facile à utiliser », déclare Adrien Neel, Directeur d’investissement chez Bpifrance Digital Venture.

 

 

Entre 5 et 10 millions de revenus 

 

Le fonctionnement de Pricemoov réunit plusieurs sources de données de la société, comme son catalogue de produits, ses stocks, ses données transactionnelles, en se connectant à ses ERP et CRM, et s’adapte en temps réel aux besoins de l’entreprise. L’outil permet ainsi à l’utilisateur de simuler l’impact de l’évolution des prix sur ses revenus, mais aussi de comparer les différents scénarios envisagés, avant la prise de décision. L’entreprise française y parvient en s’appuyant sur la science des données, l’automatisation de bout en bout et une expérience utilisateur intuitive.

 

Pricemoov affirme avoir enregistré une augmentation annuelle de 150 % de son chiffre d’affaires et avoir augmenté sa base de clients de 200 %, y compris les nouveaux clients Jokr, Recommerce, Samkaup et Audi.

 

La plus grosse source de revenus pour l’entreprise, estimés entre 5 et 10 M€, reste la vente de la solution, par une source proche du dossier, qui mise également sur des prestations de services comme le paramétrage de l’architecture tarifaire. La société s’appuie aujourd’hui sur un effectif de plus de 40 salariés.

 

 


 

  • Acquéreur ou Investisseur : ISAI , François Collet , BPIFRANCE INVESTISSEMENT , Adrien Neel , SOCIETE FINANCIERE SAINT JAMES
  • Société Avocat d’Affaires Corporate : GIDE , Pierre Karpik
  • Acquéreur Avocat Corporate : JOFFE & ASSOCIES (Thomas Saltiel et Rudy Diamant)
  • Acq. DD Financière2 : CFINANCE , Jacques Haccoun , Julien Solyjan , Lucas Gauthier
  • Acq. Conseil Environnement, DD ESG : COLLECTIVELY.LIFE
  • Levée de Fonds Conseil / Agent : ALPHA CAPITAL PARTNERS

La Société de la Tour Eiffel acquiert un bâtiment de Pontine Groupe

Retrouvez l’article original de Boursier.com ici.

 

Joffe & Associés, conseil de Pontine Groupe, annonce la cession à la Société de la Tour Eiffel, d’un ensemble immobilier de bureau situé au 10 boulevard de la Bastille dans le 12ème arrondissement de Paris.

 

 L’ensemble immobilier a été cédé après l’installation de Team To, producteur indépendant français et studio d’animation de télévision et de cinéma, sur un bail ferme de 9 ans.

 

L’ensemble immobilier, anciennement occupé par le centre d’art contemporain « La Maison Rouge », a été entièrement rénové pour répondre aux besoins des nouveaux usages et salariés en termes de confort et de flexibilité et répond à toutes les exigences d’un acteur reconnu dans les technologie de l’animation.

 

Pontine Groupe a été accompagnée tout au long de ces opérations de restructuration, d’extension et de changement de cible par sa filiale Active Promotion dans le cadre de sa mission de maîtrise d’ouvrage déléguée et par Joffe & Associés qui l’a assisté sur l’ensemble des problématiques juridiques (acquisition  du foncier, urbanisme, construction, baux commerciaux, fiscalité et vente au terme de l’opération).

 


 

L’équipe de Joffe & Associés en charge de l’opération :

Droit et immobilier et de la construction : David TAVERNIER, Samir KHAWAJA et Irina RATSIMANDRESY

Fiscalité immobilière : Virginie DAVION, et Clément PEILLET.