microDON rachetée par KissKissBankBank & CO

Par Carenews PRO – Publié le 16 juillet 2020

 

Filiale de La Banque Postale, l’entreprise pionnière du financement participatif KissKissBankBank & Co vient d’annoncer le rachat de microDON, entreprise sociale à l’origine de l’ARRONDI sur paiement et sur salaire.

 

Lancée par Adrien Aumont, Ombline le Lasseur et Vincent Ricordeau en septembre 2009, KissKissBankBank & Co a popularisé le crowdfunding en France. Elle revendique le financement de 22 000 projets associatifs, créatifs ou entrepreneuriaux grâce à la collecte de 110 millions d’euros auprès de 1,9 million de personnes.

 

KKBB a lancé en 2015 Lendopolis, une plateforme qui permet d’investir son épargne dans le financement des énergies renouvelables, avant d’être rachetée en 2017 par la Banque Postale et de prendre une participation majoritaire dans la régie solidaire Goodeed en 2018.

 

KISSKISSBANKBANK & CO RENFORCE SA STRATÉGIE BTOB

C’est dans une logique de renforcement de sa stratégie BtoB que KissKissBankBank & Co a annoncé aujourd’hui le rachat de microDON, sans toutefois révéler le montant de la transaction. L’entreprise agréée ESUS est réputée pour avoir mis en place L’ARRONDI solidaire (sur paiement et salaire) et le don de temps permettant à chacun de soutenir au quotidien des associations d’intérêt général. Plus de 20 millions d’euros ont été collectés et intégralement reversés à plus de 1 200 associations depuis la création de microDON.


> À lire aussi : [CHIFFRE] L’ARRONDI solidaire : microDON a récolté 7,4 millions d’euros de dons en 2019


« Nous sommes très heureux de rejoindre KissKissBanKBank & Co, avec un projet collectif, construit avec tous les salariés et mûri depuis plus d’un an. Il s’inscrit parfaitement dans notre vision d’entreprise solidaire, nos valeurs et notre volonté à tous de démultiplier l’impact de nos entreprises partenaires au service du monde associatif, qui fait face à des besoins croissants dans un contexte de crise sociétale et environnementale sans précédent », s’est félicité le fondateur de microDON Pierre-Emmanuel Grange dans un communiqué.

La rédaction

Axium package son LBO

PAR | 26 juin 2020 – CF NEWS

Fort de 60 M€ de revenus, le fabricant ligérien d’emballages en plastique, remplace ses minoritaires par Cerea Partners, majoritaire, et Bpifrance Investissement. Le management en profite pour réinvestir. 

 

Axium recompose son actionnariat via sa toute première opération à effet de levier. Jusqu’à présent, le fabricant d’emballage en plastique misait sur des financiers minoritaires, dont Garibaldi Participations, Siparex, ou encore Crédit Mutuel Equity, qui était entré en 2016 avec 10 % des parts. Cette fois, c’est un actionnaire majoritaire qui se fraie une place à son capital, Cerea Partners (par le biais de Cerea Capital II), en injectant entre 10 et 20 M€. Le management et le dirigeant, qui constituent le deuxième bloc de l’actionnariat, réinvestissent. Bpifrance Investissement s’immisce quant à lui comme actionnaire minoritaire. Une partie de la famille du dirigeant, qui souhaitait réaliser son patrimoine, en profite pour quitter le capital, de même que Crédit Mutuel Equity. L’opération a été initiée en septembre, dans un contexte de « plastic bashing » à son apogée en France, avec un process orchestré par Mazars CF ciblant plusieurs fonds connaisseurs du monde du packaging en plastique. Elle valoriserait l’entreprise entre 50 et 75 M€.

 

Un closing décalé

Antoine Peyronnet, Cerea Partners

Antoine Peyronnet, Cerea Partners

 

Initialement prévu pour fin mars, le closing s’est finalement tenu le 25 juin. Un report induit par la nécessité de trouver un remplaçant à l’arrangeur initial, ayant fait faux bond au moment du confinement malgré les offres fermes reçues. Caisse d’Epargne a finalement été retenue pour arranger une dette légèrement supérieure à 3 fois l’Ebitda, aux côtés deLa Banque Postale, le CIC, la Banque Populaire et le Crédit Agricole. Mais en dépit des craintes, l’entreprise n’a pas connu la crise. « L’activité agro-alimentaire du groupe s’est montrée très résiliente. Le segment hygiène /santé a quant à lui bénéficié d’un effet covid positif, notamment du fait de l’augmentation des ventes de gels hydro-alcooliques », indiquent Antoine Peyronnet et Michel Chabanel, respectivement associé et CEO de Cerea Partners. L’entreprise aurait, d’ailleurs, dépassé le chiffre d’affaires et la marge de son budget prévisionnel.

 

De l’appétit pour l’Europe

Matthieu Boyé, Mazars Corporate Finance

Matthieu Boyé, Mazars Corporate Finance

 

Installé près de Saint-Étienne, Axium est né en 1999, avec le rapprochement de la société historique du groupe Loire Plastic Industries, fabricant de bouchons et boites via injection plastique, et d’Actipack, spécialisée dans les emballages en PET (un type de plastique). L’ensemble, placé sous la présidence d’Yves Cury, fils du fondateur, rassemble aujourd’hui cinq entreprises. Il concentre plus de 400 collaborateurs, et opère sur 5 sites en France (3), Allemagne (1) et République Tchèque (1) pour un chiffre d’affaires de 60 M€ fin 2019, en croissance annuelle de plus de 20 % ces cinq dernières années. Ses produits s’adressent à l’industrie agro-alimentaire et de la grande consommation, mais pourraient trouver d’autres domaines d’application. « Face à la forte concurrence entre consolidateurs du secteur, poussant les valorisations à la hausse, ce groupe majoritairement familial rencontrait des difficultés à mettre en œuvre sa stratégie de croissance externe sans risque patrimonial démesuré pour ses actionnaires, explique Matthieu Boyé, associé chez Mazars CF. Cette opération lui donnera les moyens de ses ambitions, lesquelles visent à accélérer sa couverture pan-européenne, son développement sur de nouveaux marchés finaux et offrir à ses clients un panel de services et de technologies plus large ». Pour ce faire, une ligne capex a été mise en place par le pool bancaire. Des entreprises aux revenus compris entre 10 et 50 M€ seront ciblées, uniquement dans les pays européens. « Ces métiers nécessitent une forte proximité géographique avec les clients », justifient en effet les responsables de Cerea. Le groupe, dont l’activité internationale représente environ 50 % du chiffre d’affaires, pourrait commencer par jeter son dévolu sur des entreprise d’Europe du Nord. Par le passé, il a déjà fait l’acquisition de Lapac en France, et de KKT en Allemagne.

 

Les intervenants de l’opération

Société cible ou acteur : AXIUM

Acquéreur ou Investisseur : CEREA PARTNERS (EX CEREA PARTENAIRE), Antoine Peyronnet, Paul de Castries, Alban Douady, BPIFRANCE INVESTISSEMENT, Denis Talaron, Vincent Groeber, MANAGERS, Yves Cury

Cédant : ACTIONNAIRES FAMILIAUX, CREDIT MUTUEL EQUITY (EX CM-CIC INVESTISSEMENT), Blandine Roche

Acquéreur Avocat Corporate – Structuration Fiscale : JOFFE & ASSOCIES, Christophe Joffe, Charlotte Viandaz, Virginie Davion, Océane Christmann, Clémentine Lemasson

Acq. DD Juridique et Fiscale : JOFFE & ASSOCIES, Christophe Joffe, Charlotte Viandaz

Acq. DD Sociale : JOFFE & ASSOCIES, Christophe Joffe, Charlotte Viandaz

Acq. DD Financière : ADVANCE CAPITAL, Olivier Poncin, Guillaume Philippot, Marine Vernay

Acq. Conseil Stratégique : ALCIMED, Vincent Pessey, Guillaume Passard, Caroline Deshayes

Acq. DD Assurances : MARSH, Jean-Marie Dargaignaratz, Betül Ekici

Acq. Conseil Environnement : DD ESGERM GROUP, Julien Famy , Stella Viot

Cédant Banquier d’Affaires / Conseil M&A : MAZARS CF, Matthieu Boyé, Olivier Schantz, Mathieu Bickel

Cédant Avocat Corporate – Structuration Fiscale : JAKUBOWICZ MALLET GUY & ASSOCIES (JMGA), Loïc Jeambrun, Tétyana Butko, DUTEIL AVOCATS, Benoît Lespinasse

VDD Juridique et Fiscale : EY SOCIETE D’AVOCATS, Lionel Benant, Laure Tatin Gignoux, Béatrice Delabre

VDD Sociale : EY SOCIETE D’AVOCATS, Clotilde Carecchio

VDD Financière : EY TS, Marc-André Audisio, Emmanuel Picard, Olivier Deloire

Managers Conseil Autres : NG FINANCE, Jacques-Henri Hacquin, Christophe Lam, Alexia Hintzy

Dette : CAISSE D’EPARGNE AUVERGNE LIMOUSIN (CEPAL), Damien Reverdiau, CAISSE D’EPARGNE LOIRE DRÔME-ARDÈCHE (CELDA), LA BANQUE POSTALE FINANCEMENT ET INVESTISSEMENT, CRÉDIT AGRICOLE LOIRE HAUTE-LOIRE, CIC LYONNAISE DE BANQUE, BANQUE POPULAIRE AUVERGNE RHÔNE ALPES (BPAURA)

Dette Avocat : DE GAULLE FLEURANCE & ASSOCIES (DGFLA), May Jarjour, Charlotte de Sercey

Opération liée : Capital Développement AXIUM vendredi 01 juillet 2016

Satellites : la startup Exotrail lève 11 millions d’euros

PAR AFP – 16 JUILLET 2020 / 08H41 – Maddyness 

La startup Exotrail, qui fournit des systèmes de propulsion électrique pour petits satellites, a annoncé avoir réalisé une levée de fonds de 11 millions d’euros.

 

La startup Exotrail, fondée en 2017, vient de boucler une levée de fonds auprès d’Innovacom, Karista, via le fonds Paris Region Venture Fund.IXO Private Equity, NCI-Waterstart, Turenne Capital et de ses investisseurs initiaux 360 Capital, Irdi Soridec Gestion et Bpifrance.

 

« Avec cette levée de fonds, nous renforçons notre mission principale : permettre des constellations durables de petits satellites en gardant comme priorité des coûts de lancement optimisés, de meilleures performances et bien sûr en toile de fond un environnement spatial responsable pour le bien de notre planète »

 

David Henri, l’un des quatre cofondateurs et PDG d’Exotrail

 

Exotrail développe des systèmes de propulseurs pour les satellites et des logiciels de conception et d’opération des missions spatiales. Ils « permettent aux petits satellites d’optimiser leur déploiement autour de la Terre, de
choisir leur orbite et de prévenir les collisions afin de réduire la pollution spatiale », explique l’entreprise.

 

L’entreprise de 27 salariés, implantée à Massy (Essonne) et Toulouse avait jusque-là levé 6 millions d’euros. Elle entend passer à 50 personnes en 2022 afin de pouvoir produire une centaine de moteurs par an. Elle a conclu en début d’année un contrat pour fournir les systèmes de propulsion de deux satellites de la future constellation en orbite basse de l’opérateur européen Eutelsat.

JEI Ingénierie bâtit son spin-off

Par Aurore BARLIER, CF NEWS

 

 

Générant un peu plus de 20 M€ de chiffre d’affaires, ce pôle, renommé Gengis, s’affranchit avec ses managers et le concours de Caisse d’épargne Ile de France Capital Investissement et de Bpifrance Investissement, en actionnaires minoritaires.

 

 

Après 27 ans de consolidation, le groupe JEI se sépare de son pôle dédié à l’ingénierie des sols : JEI Ingénierie. En vue de leur départ pour de nouveaux projets, les co-fondateurs du groupe de BTP et anciens actionnaires majoritaires de l’entité cédée, Jacques Ergand et Rémi Lanzenberg, avaient confié il y a près d’un an un process à Invest CF. Malgré l’intérêt porté au dossier par plusieurs industriels français et européens, une reprise par les managers a été privilégiée. Le pôle constitué de quatre filiales opérationnelles, GeotherIddeaTechnosol et IPC, se retrouve ainsi entre les mains des dirigeants respectifs de ces dernières : Xavier du ChaylaStéphane Sabatier (tous deux étaient déjà actionnaires ultra-minoritaires), Michaël Reboul et Denis Courcoux. Ceux-ci profitent de l’opération pour faire entrer 25 salariés clés et confient une grande minorité du capital à Caisse d’Épargne Ile de France Capital Investissement et Bpifrance Investissement. Reposant principalement sur des fonds propres, le montage est complété par une dette apportée par Caisse d’Epargne et BNP Paribas englobant le refinancement de la dette existante ainsi que la dette d’acquisition pour un levier inférieur à 3 fois l’Ebitda.

 

Compléter son maillage territorial

 

Stanislas Mamez Philippe Hottinguer Finance

 

Stanislas Mamez, Philippe Hottinguer Finance

 

Comme de nombreuses opérations devant être finalisées en mars, ce MBO a pâti d’un retard dû aux incertitudes liées à la crise. « Nous avons insisté pour maintenir les comités hebdomadaires avec les investisseurs, afin que ces derniers puissent suivre les mesures prises par le management pendant le confinement », explique Stanislas MamezM&A director chez Philippe Hottinguer Finance, mandaté par les actionnaires minoritaires pour travailler à un projet de reprise cohérent. Aux premières semaines d’inquiétudes sur l’avenir du BTP, a succédé mi-avril la reprise des commandes liées aux chantiers publics – notamment pour le Grand Paris. Générant un peu plus de 20 M€ de chiffre d’affaires, JEI Ingénierie est né en 2007 afin de se distinguer des activités de travaux du groupe, placée sous la bannière JEI Entreprises. Ce dernier devrait, selon nos informations, faire l’objet d’une transmission familiale imminente. Fraîchement renommé Gengis et placée sous la responsabilité de Stéphane Sabatier, le pôle d’ingénierie des sols compte 140 collaborateurs dédiés à une clientèle privée et publique, et dispose d’un réseau de huit agences lui assurant une couverture principalement en Ile-de-France, en Normandie, mais également dans les régions nantaise et lyonnaise. Des positions que les dirigeants aimeraient renforcer, mais aussi compléter avec des ouvertures dans l’Est du pays. La croissance externe est également envisagée, notamment sur des activités de niche pour compléter son savoir-faire. « Très peu d’acteurs ont la capacité de Gengis pour proposer une offre multi-services basée sur les études de sols, l’audit environnemental et l’ingénierie de la structure des bâtiments », souligne Stanislas Mamez. Bien qu’aucune ligne de capex n’a été structurée, JEI Ingénierie peut compter sur une capacité d’endettement supplémentaire et la volonté des actionnaires de les accompagner sur ces projets.

 

Les intervenants de l’opération

 

Société cible ou acteur GENGIS (EX JEI INGENIERIE)

Acquéreur ou Investisseur CAISSE D’EPARGNE ILE DE FRANCE CAPITAL INVESTISSEMENT, Guillaume Guin, Ghislain Garnier, BPIFRANCE INVESTISSEMENT, Luc Doyennel, MANAGERS, Stéphane Sabatier., Xavier du Chayla, Michaël Reboul, Denis Courcoux

Cédant GROUPE JEI, Jacques Ergand, Rémi Lanzenberg

Acquéreur Banquier d’Affaires / Conseil M&A PHILIPPE HOTTINGUER FINANCE, Stanislas Mamez, Amish Boodhoo

Acquéreur Avocat Corporate – Structuration Fiscale PIOTRAUT GINE AVOCATS (PGA), Raphaël Piotraut, Suzanne de Carvalho, Carole Fouldrin, JOFFE & ASSOCIES, Romain Soiron, Aymeric Dégremont, Paddy Pascot

Acq. DD Financière ODERIS, Aurélien Vion, Nicolas Boucher, Augustin Dupont, Noëlline Lemois

Cédant Banquier d’Affaires / Conseil M&A INVEST CORPORATE FINANCE, Raphael Rossello, Stéphane du Périer

Cédant Avocat Corporate – Structuration Fiscale SPARK AVOCATS, Ariane Olive

Dette CAISSE D’EPARGNE ILE-DE-FRANCE (CEIDF), Amer Assi, Kevin Macabrey, BNP PARIBAS (FINANCEMENT)

 

SheeldMarket déploie sa plateforme de trading de cryptomonnaies

Par Déborah Loye – Les Echos

 

La toute jeune start-up a bouclé un tour de table de 1 million d’euros auprès d’investisseurs français et américains. Elle développe une plateforme qui permet de passer des ordres sans que les montants ne soient dévoilés à l’avance.

 

Les infrastructures liées au trading des cryptomonnaies continuent à se structurer. Après l’acteur de la tenue de marché Woorton , et celui des solutions de gestion de cryptomonnaies pour les banques privées Taurus , c’est au tour de Sheeldmarket d’annoncer sa levée de fonds. L’entreprise a bouclé un tour de table de 1 million d’euros auprès d’Axeleo Capital et du fonds américain Draper Dragon, suivis par Kima Ventures, Acequia Capital et le business angel Charlie Songhurst.

 

Les trois cofondateurs de la start-up, Oliver Yates, Simon Douyer et Arnaud Carrere, tous ingénieurs, ont été rejoints par Jacques Lolieux, qui compte à son actif vingt-cinq ans d’expérience dans la banque (Société Générale, Lehman Brothers et Credit Suisse). Ce dernier a notamment créé et dirigé le dark pool du Crédit Suisse, et s’il a rejoint l’aventure, c’est que SheeldMarket s’attelle au développement d’un « dark pool chiffré ». Les dark pools sont des Bourses privées sur lesquelles les ordres sont passés sans que les montants ne soient dévoilés en avance. « Les  échanges y sont souvent biaisés par des fuites d’information, indique Olivier Yates. Notre système permet d’éviter ces fuites. » La start-up revendique ainsi pouvoir faire économiser à ces clients « plus de 5 % de la valeur de leurs transactions grâce à une meilleure qualité d’exécution ».

 

Deux clients

 

L’entreprise, immatriculée en novembre 2019, n’en est qu’à ses débuts. Son dossier pour devenir « Entreprise prestataire de service numérique » est en cours d’examen auprès de l’AMF. SheeldMarket revendique cependant déjà deux clients, à savoir « d’importants acteurs du trading aux Etats-Unis et en Asie ».

 

Sa plateforme, qui vient d’être lancée, ne sert pour le moment qu’à l’échange de cryptomonnaies, mais pourrait s’étendre à de nouvelles classes d’actifs dans les années à venir. « La technologie de SheeldMarket est de 800 à 1.000 fois plus rapides que les systèmes chiffrés de ses compétiteurs, en faisant la seule technologie apte à opérer sur des classes d’actifs matures, comme les actions », revendique le cofondateur de l’entreprise.

 

La jeune fintech, qui avait remporté le premier prix du concours organisé par l’incubateur fintech La Place, emploie actuellement sept personnes, et profitera de cette levée pour en embaucher trois de plus.

 

Déborah Loye