Les métavers et la propriété intellectuelle : quelle protection pour les titulaires de marques ?

Article Editions Multimedia n° 276 Par Véronique DAHAN, associée du cabinet Joffe & Associés

Télécharger l’article : Newsletter IP – metavers – avril-2022

 

Le métavers – ou metaverse en anglais – est l’une des tendances les plus en vogues depuis la fin de l’année 2021. Cet intérêt soudain pour les espaces virtuels s’est fortement développé suite à l’annonce, faite par Mark Zuckerberg en octobre 2021, du changement de la déno­mination du réseau social le plus populaire du monde [2,8 mil­liards d’utilisateurs mensuels). Facebook est ainsi devenu Meta. et le géant américain a promis« de donner vie au métavers et d’aider les gens à se connecter, à trouver des communautés et à développer des entreprises».

 

Principes de spécialité et de territorialité

Il est aujourd’hui possible de rattacher un métavers à une blockchain, une chaîne de blocs {voir encadré page suivante/. Les métavers fonctionnant grâce elle permettent à leurs utilisateurs de devenir propriétaires de tous les biens virtuels qui y sont créés : parcelles de terrains, bâtiments, œuvres d’art, vêtements, etc. On peut citer comme exemple« The Sandbox Game» qui est un métavers décentralisé fonctionnant sur la blockchain Ethereum et qui offre aux utilisateurs la possibilité de créer, utiliser, acheter ou vendre toute sorte d’items numériques associés chacun à un jeton non-fongible dit NFT [Non-Fungible Token] Ces deux révolutions – métavers et blockchain – sont le signe d’une« hyperconvergence technologique» propice au métavers. Internet bascule d’un web 2.0 purement collaboratif, où les utilisateurs peuvent créer et diffuser du contenu, à un web 30 [ou Web3] immersif et appropriable. Ce basculement permet d’affirmer que le métavers n’a Jamais été aussi proche du monde réel. C’est la raison pour laquelle divers secteurs économiques – luxe, sport, mode, musique, art, … – s’intéressent aux possibilités offertes par le métavers et construisent leurs projets en conséquence. Les marques investissent d’ores et déjà dans le métavers, à l’image de Nike qui a lancé sont propres métavers sur la plateforme Roblox: Nikeland. La plateforme Decentraland a, quant à elle, organisé fin mars 2022 la toute première« Metaverse Fashion Week ». L’événement comprenait des défilés, des expositions de pièces de luxe, des concerts, des discussions et toutes sortes d’expériences virtuelles. Les marques prenant part à cet événement dans le métavers ont donc eu l’occasion de présenter leurs produits numériques sous forme de NFT, que les utilisateurs pouvaient acquérir dans le but de vêtir leur avatar de parures uniques et exclusives. Parmi ces marques, les visiteurs ont retrouvé Philipp Plein, Forever 21, Karl Lagarfeld ou encore Vogue & Hype. Beaucoup d’entreprises s’interrogent sur la stratégie à adopter pour protéger leurs marques dans le métavers. Les problématiques juridiques rencontrées dans le monde physique tendent à se transposer au métavers, que ce soit en matière de données personnelles, de droit de la consommation et évidemment de droit de la propriété intellectuelle. A ce jour, il n’existe aucune réglementation propre au métavers. A ce titre, la question de la stratégie à adopter afin d’obtenir une protection optimale de ses marques dans le métavers est cruciale.
Le droit des marques est un droit monopolistique, en ce sens que la protection découlant de la marque permet à son titulaire d’évincer tous ses concurrents de l’utilisation à des fins commerciales d’un signe distinctif identique ou similaire. Le droit des marques est régi par deux principes fondamentaux, dont l’extension au monde virtuel peut sembler épineuse: le principe de spécialité, d’une part, et le principe de territorialité, d’autre part.

 

Est-ce nécessaire de protéger sa marque pour les produits et services liés spécifiquement au métavers ?

Le code de la propriété intellectuelle [CPI] dispose que « /’en­registrement de la marque confère à son titulaire un droit de propriété sur cette marque pour les produits ou services qu’il a désignés». En vertu du principe de spécialité, une marque n’est protégée que pour les produits et services visés lors du dépôt [sauf pour les marques de renommées qui bénéficient d’une protection juridique élargie au-delà des produits et services pour lesquels elles ont été enregistrées]. Toute la question est donc de savoir si un bien ou un service du monde réel pourrait être considéré comme identique ou similaire à son équivalent virtuel et générer un risque de confusion dans l’esprit du public.

 

Réel et virtuel : risque de confusion

De prime abord, nous pourrions penser qu’un bien ou un service réel et son équivalent virtuel sont différents dans la mesure où ils ne rempliraient pas la même fonction. Si nous prenons l’exemple d’un sac: un sac virtuel n’est autre que des données informatiques représentées sur un écran. Il ne remplit pas sa fonction première qui est d’y ranger ses affaires. Toutefois, cette fonction première n’est pas la seule et unique fonction d’un sac. Comme dans le monde réel, le sac acheté dans le métavers, pour des avatars par exemple, le sera pour des considérations esthétiques et pas seulement pratiques, ainsi que pour des considérations d’image. Est-ce qu’en achetant un bien virtuel de telle ou telle marque dans le métavers, le consommateur fera-t-il le lien avec la marque/l’entreprise du monde réel? La détermination du risque de confusion est évidemment subjective et dépend de chaque cas d’espèce. la na lyse ne se fait pas uniquement au regard des produits et services.
Déposer une marque : penser au virtuel L’.examen des signes en cause et des produits/services ne se fait pas de façon hermétique : il existe une interdépendance entre ces deux éléments. Ainsi, la faible similitude entre les produits peut être compensée par là haute ressemblance entre les signes, et vice versa. De même, si le signe revêt un caractère distinctif fort ou une certaine notoriété, le risque de confusion est augmenté. Il semble donc qu’une marque pourrait a priori être suffisamment protégée contre des usages dans le méta­vers, et ce même si elle n’est enregistrée que pour désigner des produits et services« classiques » .
Pour éviter tout débat et dans la mesure où il n’y pas encore de jurisprudence en la matière, il est toutefois recommandé aux titulaires de marques de déposer leurs marques en visant également des produits et services liés au métavers : biens virtuels téléchargeables, services de divertissement, à savoir la fourniture de vêtements 1.1 virtuels en ligne et non téléchar­geables, destinés à être utilisés dans des environnements virtuels.

 

Est-il possible d’assurer la protection territoriale de la marque, produits et services, à l’ère du métavers?

La marque est un droit territorial en ce sens que le monopole que détient le titulaire sur sa marque ne peut être opposé aux tiers que sur le territoire duquel l’enregistrement a été obtenu. Il peut dès lors sembler délicat de concilier le principe de territorialité.de la marque avec le métavers. Par définition, le métavers est détaché de tout territoire puisqu’il prend la forme d’un univers à part entière.
On peut également estimer que le métavers a un caractère mondial, accessible à des utilisateurs établis aux quatre coins du globe. Se pose alors la question de savoir si une marque enregistrée uniquement en France peut bénéficier d’une protection efficace contre des actes de contrefaçon commis dans le métavers. Le simple accès au métavers par des utilisateurs français permettrait-il de considérer qu’il y a contrefaçon ?
La solution qui pourrait être adoptée serait celle communé­ment admise s’agissant des atteintes aux marques sur Internet. La jurisprudence a établi la théorie de la focalisation en matière de contrefaçon sur Internet, en vertu de laquelle l’acte de contrefaçon d’une marque française est constitué dès lors qu’un faisceau d’indices permet de démontrer que l’internaute français est la cible du site web étranger [accessibilité du site, utilisation de la langue française, livraison en France, etc. Toutefois, contrairement aux sites Internet dont il est possible de démontrer qu’ils ont un public ciblé géographiquement, le métavers est quant à lui global, ne faisant pas a priori de différences en fonction de la géolocalisation des utilisateurs.

NEWSLETTER RGPD – Sanction CNIL : Un sous-traitant condamné à une amende de 1,5 million d’euros à la suite d’une fuite massive de données.

Newsletter RGPD – avril 2022

 

Dans une décision remarquée du 15 avril 2022, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) a infligé à l’éditeur de logiciel Dedalus Biologie une amende d’1,5 million d’euros pour manquement à plusieurs dispositions du Règlement général pour la protection des données (« RGPD »). L’autorité administrative a également prononcé la publication de la sanction sur son site et sur le site de Légifrance.

 

Cette condamnation s’inscrit à la suite de la fuite massive de données personnelles, dont des données de santé, qui a concerné plusieurs laboratoires français ayant eu recours aux services du sous-traitant Dedalus. Le journal Libération, qui avait révélé l’affaire le 21 avril 2021, indiquait que les données personnelles de 500 000 patients avaient été rendues accessibles gratuitement sur le darknet.

 

Les manquements reprochés à la société Dedalus étaient les suivants :

 

  1. Manquement à l’obligation d’assurer la sécurité des données personnelles (article 32 du RGPD) ;
  2. Manquement à l’obligation de suivre les instructions de ses clients, responsables de traitement (article 28 du RGPD) ;
  3. Absence d’accords sur la protection des données (article 28 du RGPD).

 

Cette décision est inédite dans la mesure où c’est la première fois que la CNIL condamne uniquement un sous-traitant – et non le responsable de traitement – en raison d’un manquement à son obligation de sécurité. En effet, conformément à l’article 32 de RGPD, l’obligation de sécurité incombe tant au responsable de traitement qu’au sous-traitant. Dans une décision du 27 janvier 2021 , la CNIL avait condamné le responsable de traitement et son sous-traitant au paiement de sanctions administratives pour des montants différents selon leur niveau de responsabilité.

 

Que retenir de cette sanction ?

 

La sécurité des données est au cœur du RGPD et concerne tant le responsable de traitement que le sous-traitant, qui est exposé à des risques de sanctions CNIL au même titre que son donner d’ordre. La CNIL publie régulièrement les sanctions sur son site internet. Les risques en termes de e-reputation – en plus des risques juridiques et financiers – sont donc bien réels et peuvent être plus néfastes que les sanctions financières.

 

Le responsable de traitement de traitement doit :

 

  • vérifier que des accords sur la protection des données conformes aux dispositions de l’article 28 du RGPD ont été signés avec chacun de ses sous-traitants et que ces accords détaillent suffisamment les mesures de sécurité mises en place ;
  • évaluer le caractère suffisant des garanties fournies par le sous-traitant avant d’entrer en relation contractuelle avec celui-ci. A ce titre, il est recommandé d’auditer le sous-traitant et de lui demander a minima de fournir une documentation de sécurité.

 

Le sous-traitant doit quant à lui :

 

  • vérifier que des mesures de sécurité technique et organisationnelle adaptées aux risques encourus (notamment en cas de traitement de données sensibles) ont été mises en place ;
  • documenter les procédures de sécurité mises en place (création d’un plan d’assurance sécurité, politique de gestion des incidents, etc.).

 

1 Délibération de la formation restreinte n° SAN-2022-009 du 15 avril 2022 concernant la société DEDALUS BIOLOGIE

2 https://www.cnil.fr/fr/credential-stuffing-la-cnil-sanctionne-un-responsable-de-traitement-et-son-sous-traitant#:~:text=La%20formation%20restreinte%20de%20la,web%20du%20responsable%20de%20traitement

 

Le département IT/RGPD du cabinet Joffe & Associés se tient à votre disposition pour vous accompagner dans votre mise en conformité RGPD.

Contacts : Emilie de Vaucresson & Amanda Dubarry

 

 

 

 

Nannybag réserve un espace à la filiale d’un groupe public

 

 

Nannybag fait partie des start-up touchées de plein fouet par le Covid-19. Service en ligne de consignes à bagages dans les commerces, elle a subi à la fois la fermeture des boutiques et des hôtels et le coup d’arrêt du tourisme. « Même si nous avons rapidement réduit notre effectif et nos coûts, nous continuions à brûler du cash. Une option était de relever auprès des fonds mais sur une valorisation réduite et donc en nous diluant fortement, ce qui n’est pas très motivant. Nous avons opté pour l’option d’un rapprochement avec un industriel », raconte Matthieu Ballester, co-fondateur avec Samir Senouci. Cet industriel est Pickup, filiale de GeoPost (La Poste) et opérateur d’un réseau de points relais. Il rachète 49 % du capital, faisant sortir complètement les financiers Fa Dièse, le luxembourgeois Expon Capital et les 25 business angels dont Jean-Romain Lhomme (ex Colony Capital), Olivier Lebel (ex Croix-Rouge française et Médecins du Monde), Christian Veigneau (ex LeGuide.com), Fabienne et Jean-Marie Rétif (ex Billetreduc.com), Géraldine Le Meur (FrenchFounders) et Quentin Chidaine (RBC Capital Markets). Les investisseurs avaient souscrit à une augmentation de capital d’1,3 M€ en octobre 2019 (lire ci-dessous).

 

Nannybag suit les pas d’Eelway 

Les deux dirigeants vendent une partie de leurs actions mais restent donc tout juste majoritaires. Le rachat du solde n’est pas envisagé, selon Matthieu Ballester, le groupe public s’engageant à ce stade à financer la jeune pousse sous forme de prêt à taux zéro. Il s’agit pour Pickup/GeoPost d’une deuxième opération dans les services autour des bagages, puisqu’il avait repris en juin 2020 les actifs d’Eelway, proposant de récupérer et de prendre en charge les valises de voyageurs puis de leur apporter à l’aéroport par exemple. Malgré deux tours auprès de business angels et de Bpifrance, Axeleo, NCI et Nomandie Participations, l’entreprise normande avait fait faillite en janvier 2020 (lire ci-dessous). C’est d’ailleurs l’un des fondateur d’Eelway qui a conseillé à celui de Nannybag de solliciter La Poste.

 

Effectifs réduits et fermeture des bureaux de Montréal et Singapour

La pandémie avait contraint le service en ligne de consignes à bagages à réduire drastiquement la voilure, diminuant son effectif de 30 à 6 salariés et fermant ses bureaux à Montréal et Singapour ouverts trois et un mois plus tôt. Après un été 2021 encore inférieur de moitié à l’été 2019 en chiffre d’affaires, le retour à la situation pré Covid n’eut lieu qu’il y a deux mois. Le réseau de Nannybag s’étend aujourd’hui sur 500 villes et 10 000 commerçants et hôtels et l’activité bénéficie de partenariats, par exemple de mise en avant, avec la compagnie aérienne portugaise TAP, Carrefour et Airbnb. Le stockage génère 80 % des revenus de la start-up, qui facture 6 € par bagage et par jour, prélevant une commission de 50 %. Son principal concurrent, l’italien Radical Storage, est un euro moins cher mais ne propose pas de système de scellé contrairement au français.

 

3 000 commerçants du réseau Pickup s’ajoutent aux 10 000 de Nannybag

Le reste du chiffre d’affaires vient d’une offre de transport de bagages sous-traitée. En se rapprochant de La Poste, Nannybag compte ajouter un troisième service de récupération des bagages dans les hôtels parisiens par les coursiers à vélo de Stuart, filiale du groupe public. Des bagages ensuite regroupés puis transportés à l’aéroport par camion. Le lancement de ce nouveau service ne devrait pas avoir lieu avant l’été 2023. En attendant, les synergies entre Pickup et sa filiale à 49 % ne se manifesteront pas tout de suite non plus puisque 3 000 des 16 000 commerçants de son réseau proposeront l’offre de bagagerie d’ici un an, diversifiant leur activité au-delà de la réception de colis.

 

Les intervenants de l’opération

 

ForePaaS s’unit à un poids lourd français de la tech

Gadsme a levé 8 millions de dollars en tour de table

Article par Gadsme, le 8 avril 2022

 

Gadsme, la seule plate-forme AdTech interactive qui offre des expériences de marque immersives de haute qualité grâce à la publicité dans le jeu, a obtenu un investissement initial de 8 millions de dollars seulement 11 mois après son lancement. Avec des investisseurs tels que Galaxy Interactive et Ubisoft , Gadsme utilisera le financement pour structurer et investir dans des personnes clés afin de faire évoluer l’entreprise pour répondre à la demande.

Avec Gadsme, les annonces immersives sont désormais diffusées de manière dynamique et ses capacités techniques uniques permettent, pour la première fois, de véritables campagnes de performance qui profitent à tous les annonceurs, sur toutes les plateformes.

Avec plus de 3 milliards de joueurs dans le monde, chacun jouant à ses jeux préférés pendant de nombreuses heures, des milliards d’impressions publicitaires sont désormais disponibles. Contrairement à l’affichage vidéo plein écran ou aux formats d’annonces interstitielles, qui peuvent interrompre l’expérience de jeu, Gadsme se concentre sur des formats d’annonces non intrusifs qui sont mélangés, immergés et natifs du gameplay.

Ces formats publicitaires s’appliquent à tous les genres de jeux, à tous les appareils et à toutes les zones géographiques, et sont particulièrement recherchés par les annonceurs de marque, qui exigent des environnements de marque garantis par Gadsme et des capacités de ciblage conformes à la confidentialité.


Gadsme a été créé en 2019 par les experts des médias numériques Guillaume Monteux et Luc Vauvillier, dont l’ancienne société miLibris a été vendue au groupe Altice. La trinité de l’équipe fondatrice est l’ancien vice-président du développement d’entreprise d’AppLovin, Simon Spaull, qui a joué un rôle important dans la croissance monumentale d’AppLovin.

Cet investissement d’amorçage a été construit de manière stratégique et sélective à partir d’un pool d’experts du jeu et du numérique qui croient en la vision de Gadsme, et qui apportent également une riche expérience et une expertise ciblée pour développer davantage le produit et l’expérience client. Pour Ubisoft, ils ont d’abord commencé à travailler avec Gadsme avant de garantir un investissement stratégique dans l’entreprise, confirmant la qualité du marché de la plate-forme de Gadsme et l’opportunité que le secteur présente. Le marché du jeu a récemment été évalué à 134 milliards de dollars, faisant des jeux le nouveau média de prédilection des marques.

« Pendant plus de 2 ans, nous, les trois co-fondateurs, avons lancé l’entreprise pour créer la solution de publicités immersives la plus avancée sur le plan technique. Lorsque certaines des meilleures sociétés de jeux vidéo au monde ont convenu, nous savions que nous étions prêts à lever des fonds pour nous développer. Pour notre tour de table, nous voulions trouver des partenaires qui pourraient apporter de vastes connaissances et une expertise dans notre entreprise. Pas seulement fournir des capitaux, mais de véritables expériences et apprentissages dans l’industrie exacte dans laquelle nous opérons. Avec Galaxy Interactive, aux côtés d’autres fondateurs de grandes sociétés de jeux en tant qu’actionnaires, nous sommes maintenant prêts et prêts à mettre en œuvre notre vision. »

a déclaré Guillaume Monteux, PDG et co-fondateur.

Le résultat de leur coopération est Gadsme : construit, testé et retravaillé dans un produit de base innovant qui est fondé sur une technologie de pointe et qui bénéficie désormais d’un soutien inégalé de l’industrie avec des investissements de plusieurs millions de dollars de la part de certains des éditeurs de jeux les plus connus. dans le monde.


Le SDK immersif de Gadsme est déjà intégré dans un certain nombre de studios de jeux haut de gamme, notamment Lion Studios, Ubisoft, Tilting Point, TapNation et Voodoo, offrant à un large public des publicités sécurisées pour la marque et de qualité supérieure.

« Nous avions rencontré diverses entreprises dans l’espace publicitaire du jeu, mais le produit et l’équipe de Gadsme correspondaient vraiment à nos convictions et à notre vision. Guillaume et son équipe s’intègrent naturellement à notre portefeuille de clients, et leur souci du détail, approche unique. , et la vision centrée sur le laser capturent ce que nous pensons être la bonne voie à suivre. Nous sommes enthousiasmés par l’espace et nous sommes impatients d’aider Gadsme dans sa quête pour donner la priorité à l’expérience du joueur en connectant les marques avec des publics passionnés. Ces intersections continueront jouer un rôle important dans cette nouvelle frontière numérique, et nous pensons que l’équipe Gadsme peut avoir un véritable impact »

a déclaré le PDG de Galaxy Interactive, Sam Englebardt.

« Notre technologie multiplateforme a été extrêmement soigneusement conçue pour fournir aux studios un partenariat à long terme afin de générer des revenus supplémentaires continus et nouveaux à partir de leurs jeux. Alors que la publicité dans les jeux est un sujet depuis 20 ans, nous pouvons aujourd’hui voir un clair une opportunité sur le marché de créer quelque chose de vierge et de différent, qui génère des revenus et un engagement mesurable de la marque dans le jeu. »

a déclaré Simon Spaull, CRO et co-fondateur.

Gadsme est la seule entreprise In-Game au monde capable d’exécuter des médias de performance dans les jeux, donnant à toutes les marques l’opportunité unique de mesurer les KPI, tout en attirant un public dans les jardins clos des jeux, mais permet également aux studios de faire de la promotion croisée pour tout autre jeu dans leur portefeuille. C’est tout à fait unique et une nouvelle opportunité commerciale importante pour l’écosystème du jeu. Notre technologie intègre pleinement la publicité de marque dans l’expérience de jeu avec des publicités immersives qui sont dynamiques, ciblées sur le contenu et offrant des expériences positives aux joueurs. Nous sommes ravis de voir comment l’industrie AdTech se développera davantage en 2022 et d’être un acteur clé dans la connexion des studios et des marques.


Le produit de Gadsme offre la même expérience positive de haute qualité aux marques et aux studios. Sa technologie brevetée pour la visibilité des publicités est unique dans l’industrie des jeux, garantissant la transparence et une portée fiable pour les marques, tandis que la combinaison d’une plate-forme intuitive en libre-service et d’une intégration fluide du SDK a assuré une expérience extrêmement positive pour les développeurs. La plate-forme de nouvelle génération de Gadsme a été conçue en interne depuis plus de 2 ans, est prête pour le métaverse et est idéalement placée pour offrir une variété de solutions afin de maximiser les résultats pour les annonceurs et les studios de jeux.

Luc Vauvillier, CTO et Co-Fondateur ajoute :

« Nous savions exactement comment développer notre produit pour assurer la stabilité et le succès. Nous avons entendu parler des nombreux défis techniques auxquels les studios étaient confrontés avec les plateformes publicitaires In-Game auparavant. Dès le départ, notre objectif était de nous assurer que notre produit était stable, fiable et adapté à son objectif. . Notre architecture interne est prête pour toutes les futures opportunités de jeu et de publicité métaverse ».

Gadsme est connu pour son excellence technique, maintenant il se concentre sur la fourniture de rendements imbattables aux sociétés de jeux, ainsi que sur la conduite d’un ROAS supérieur pour les annonceurs.