Contrôle exclusif de NextRadioTV par SFR et Altice, deux cabinets sur le deal.

L’Autorité de la concurrence a donné, le 13 juin 2017, son feu vert au contrôle exclusif du groupe News Participations (maison-mère de NextRadioTV : BFMTV, BFM Business, RMC, etc.) par le groupe SFR.
L’autorité indépendante a estimé que les risques concurrentiels liés à l’opération étaient limités.
Sur un marché télévisuel gratuit et payant plutôt dominé par le groupe Canal+, Altice n’est encore qu’un nouveau venu, bien loin de tout risque monopolistique. Cette opération, qui s’inscrit dans la stratégie de convergence du groupe Altice entre les réseaux de télécommunications et les contenus, reste soumise à l’agrément du Conseil supérieur de l’audiovisuel.

 

Conseil du groupe NextRadioTV : Maître Olivier Cavézian.
Conseil de SFR/Altice : Cabinet Franklin

1001 Salles réunit 4 M€ pour déployer ses solutions

C’est la première fois depuis sa création, en 2000, que 1001 Services ouvre son capital.Plus connue pour sa marque 1001 Salles, l’entreprise de mise en relation du monde événementiel réunit ainsi 4 M€ auprès de Rives Croissance et de Cap Horn Finance.
Restant contrôlée par ses fondateurs, elle lève, en parallèle, une dette senior arrangée par BNP Paribas.
En 2016, 1001 Services a dégagé un chiffre d’affaires de 3 M€, pour une marge d’Ebitda de 35 %.
Historiquement elle s’est développée en mettant en relation propriétaires de salles et organisateurs d’évènements sur ses sites web 1001salles.com et 1001sallespro.com.
Elle a depuis déployé cette solution à d’autres thématiques, des traiteurs (1001traiteurs.com) à la réservation de salles de réunion (MyMRC).
Alors qu’elle recense aujourd’hui plus de 6 000 salles et 3 000 traiteurs, elle souhaite pousser les feux à l’international et lancer un salon pour connecter acteurs de l’évènementiel et prestataires de services.

 

Conseils investisseurs juridique : Romain Soiron, Aymeric Dégremont

L’application de « gestion d’équipes » SportEasy récolte 1,3 M€

Permettre aux clubs de sport amateurs, petits et grands, de gérer leurs équipes (disponibilités des joueurs, compositions d’équipe, statistiques) et de les faire connaître (commentaires, photos, votes, notes) ?
C’est autour de cette promesse que SportEasy a développé son application Web et mobile, déjà utilisée par 600 000 utilisateurs, dont près de 10 % qui ont adopté l’offre payante.
La solution a convaincu le F3A (fonds Ambition Amorçage Angels, géré par bpifrance) et plusieurs business angels – dont Cyril Vermeulen (fondateur d’AuFéminin) ou Didier Kuhn (créateur de ScreenTonic) –d’injecter 1,3 M€ dans la start-up pour lui permettre d’accélérer.
SportEasy recrutera ainsi quelques développeurs pour continuer d’ajouter des fonctionnalités à son service, ainsi que plusieurs commerciaux pour entamer, dès la rentrée, une campagne marketing.
SportEasy devrait ainsi totaliser une dizaine de collaborateurs à temps plein d’ici à la fin de l’année.
Déjà disponible en six langues (pour une présence dans 100 pays) et fonctionnant pour une petite vingtaine de sports différents allant du football au roller hockey, l’application estime pouvoir atteindre le million d’utilisateurs et le million d’euros de chiffre d’affaires d’ici à 2018.

 

Conseils cible juridique : Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz

L’application de « gestion d’équipes » SportEasy récolte 1,3 M€

Permettre aux clubs de sport amateurs, petits et grands, de gérer leurs équipes (disponibilités des joueurs, compositions d’équipe, statistiques) et de les faire connaître (commentaires, photos, votes, notes) ?
C’est autour de cette promesse que SportEasy a développé son application Web et mobile, déjà utilisée par 600 000 utilisateurs, dont près de 10 % qui ont adopté l’offre payante.
La solution a convaincu le F3A (fonds Ambition Amorçage Angels, géré par bpifrance) et plusieurs business angels – dont Cyril Vermeulen (fondateur d’AuFéminin) ou Didier Kuhn (créateur de ScreenTonic) – d’injecter 1,3 M€ dans la start-up pour lui permettre d’accélérer.
SportEasy recrutera ainsi quelques développeurs pour continuer d’ajouter des fonctionnalités à son service, ainsi que plusieurs commerciaux pour entamer, dès la rentrée, une campagne marketing.
SportEasy devrait ainsi totaliser une dizaine de collaborateurs à temps plein d’ici à la fin de l’année.
Déjà disponible en six langues (pour une présence dans 100 pays) et fonctionnant pour une petite vingtaine de sports différents allant du football au roller hockey, l’application estime pouvoir atteindre le million d’utilisateurs et le million d’euros de chiffre d’affaires d’ici à 2018.

 

Conseils cible juridique : Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz

InterCloud veut conquérir l’Europe avec 10 M€

Dix-huit mois plus tôt, InterCloud levait un deuxième tour de 4 M€ pour booster sa R&D et poser les premières pierres de son internationalisation. Une étape que ce pionnier de la connectivité dédiée au cloud et aux fournisseurs de cloud a franchi avec succès, et qui l’amène aujourd’hui à procéder à une nouvelle levée de 10 M€.
Conséquente, la somme a été obtenue auprès des VCs historiques, CapHorn Invest et Ventech, ainsi qu’auprès de deux nouveaux entrants, Hi Inov (via Hi Inov1 et SNCF Digital Ventures) et Bpifrance (via le Fonds Ambition Numérique). Actif lors du précédent tour, l’américain Riverbed Technology n’a en revanche pas contribué à cette nouvelle opération.
Avec cette manne, InterCloud pousse à près de 16 M€ les fonds propres réunis depuis sa création en 2011.
Un renforcement qui devrait lui permettre d’étendre significativement son activité au-delà de l’Hexagone, en ciblant plus particulièrement l’Angleterre, la Belgique et la Suisse.
Surfant sur un marché qui pourrait atteindre 1 Md$ d’ici 2019 sur la seule Europe de l’Ouest, il offre actuellement ses services pour une multitude de grands comptes, à l’image de Schneider Electric et de Société Générale.

 

Conseils cible juridique : Thomas Saltiel, Camille Malbezin

InterCloud veut conquérir l’Europe avec 10 M€

Dix-huit mois plus tôt, InterCloud levait un deuxième tour de 4 M€ pour booster sa R&D et poser les premières pierres de son internationalisation.

Une étape que ce pionnier de la connectivité dédiée au cloud et aux fournisseurs de cloud a franchi avec succès, et qui l’amène aujourd’hui à procéder à une nouvelle levée de 10 M€.
Conséquente, la somme a été obtenue auprès des VCs historiques, CapHorn Invest et Ventech, ainsi qu’auprès de deux nouveaux entrants, Hi Inov (via Hi Inov1 et SNCF Digital Ventures) et Bpifrance (via le Fonds Ambition Numérique).

Actif lors du précédent tour, l’américain Riverbed Technology n’a en revanche pas contribué à cette nouvelle opération. Avec cette manne, InterCloud pousse à près de 16 M€ les fonds propres réunis depuis sa création en 2011.
Un renforcement qui devrait lui permettre d’étendre significativement son activité au-delà de l’Hexagone, en ciblant plus particulièrement l’Angleterre, la Belgique et la Suisse.
Surfant sur un marché qui pourrait atteindre 1 Md$ d’ici 2019 sur la seule Europe de l’Ouest, il offre actuellement ses services pour une multitude de grands comptes, à l’image de Schneider Electric et de Société Générale.

 

Conseils cible juridique : Thomas Saltiel, Camille Malbezin

G2 Mobility noue un partenariat avec Nexans et récolte 2,7 M€

D’après une étude de Frost & Sullivan, environ 3 millions de véhicules électriques devraient circuler dans le monde en 2018, contre 500 000 en 2014.
A l’origine d’une gamme de bornes de recharge destinées à ce marché, G2 Mobility se prépare à tirer parti de cette tendance, comme en atteste le deuxième tour de table qu’elle a finalisé, pour un montant de 2,7 M€.
La start-up s’est tournée vers ses deux actionnaires historiques, Innovacom et Bpifrance, mais elle en profite surtout pour faire rentrer à son capital Nexans. La participation du spécialiste des infrastructures de câblage à l’augmentation de capital de G2 Mobility n’a rien d’un hasard. Car l’industriel a noué un partenariat en vertu duquel il s’engage à associer les solutions de la start-up avec ses propres équipements de raccordements.
Une initiative qui se traduira concrètement par la production des bornes de recharge de G2 Mobility sur le site de Nexans basé à Donchéry, dans les Ardennes, dès juin 2016.

 

Conseil juridique : Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz

Captain Contrat signe avec Aurinvest et bpifrance

Créé en 2013 par Maxime Wagner, Philippe Wagner et Pierre Gielen, Captain Contrat figure comme l’un des précurseurs du marché de la dématérialisation des échanges entre entreprises et avocats.
Sa solution SaaS, pensée pour les services juridiques, vient d’ailleurs de séduire Aurinvest et bpifrance (via son Fonds Ambition Amorçage Angels), ainsi que plusieurs business angels comme Cyril Vermeulen (Auféminin.com) et Olivier Heckmann (Multimania, Lycos…). Ensemble, ils souscrivent un tour d’amorçage
s’élevant à 1 M€.
Surfant sur un marché des services juridiques aux entreprises de plus de 3 Md€ en France et de 20 Md€ en Europe, Captain Contrat revendique une croissance de son activité de 600 % par an. La start-up reste néanmoins discrète sur son chiffre d’affaires, mais témoigne avoir franchi le cap des 10 000 prestations
d’avocats.
Avec l’enveloppe levée, elle compte fluidifier l’expérience utilisateur de sa plate-forme et y ajouter de nouvelles fonctionnalités, comme la prise de rendez-vous en ligne à compter du troisième trimestre 2016.
Enfin, des recrutements devraient avoir lieu en marketing, product management et développement, pour se lancer en Europe. Sur ce marché du « legaltech », Captain Contrat n’est cependant pas seule. Guacamol (spécialisée dans l’immatriculation des sociétés) ou bien encore PayFit (services de droit social) ont fait leur entrée. Mais toutes sont loin d’être aussi développées qu’au Royaume-Uni et aux Etats-Unis – où exerce Legalzoom (400 M$ de chiffre d’affaires 2015).

 

Conseil juridique : Joffe & Associés

Apicap cède Nuxeo à Goldman Sachs et Kennet

Né à l’aube des années 2000, Nuxeo ouvre une nouvelle page de son histoire.
Cet été, l’éditeur de plates-formes open-source de gestion de contenus d’entreprise (ECM) a reçu 30 M$ du fonds américain de growth capital Kennet Partners (10 M$) et de Goldman Sachs Private Capital (20 M$).
De quoi offrir une belle porte de sortie à Apicap, détenteur d’une participation majoritaire cumulée depuis 2008 grâce à une dizaine de millions d’euros investie au cours des trois derniers tours de table.
Les nouveaux actionnaires comptent poursuivre l’expansion internationale de la pépite tricolore, en renforçant ses équipes de ventes en Europe, en Amérique du Nord et au Japon.
Depuis la dernière augmentation de capital de septembre 2013, Nuxeo a connu une croissance exceptionnelle outre-Atlantique. A tel point qu’elle y génère désormais la moitié de ses quelques 10 M€ de revenus.
Dans son portefeuille de plus de 1 000 clients figurent notamment Electronic Arts, l’Agence France-Presse, Leroy Merlin, Orange, TBWA, Generali, Boeing, Voyages-SNCF ou encore les services du Premier Ministre français.

 

Conseil juridique cible : Thomas Saltiel, Virginie Belle

FoodChéri s’étend à l’Ile-de-France avec 6 M€

Concurrent direct de Frichti sur le secteur de la livraison de repas cuisinés en interne, le parisien FoodChéri vient de boucler un deuxième tour de table de 6 M€.
Un an après avoir engrangé 1 M€ grâce à Breega Capital, Impala et France Participation (famille Paluel- Marmont), il s’ouvre aujourd’hui à 360 Capital Partners (qui officie comme chef de file), à Samaipata Ventures (créé par les fondateurs de La Nevera Roja) et à Ambrosia Investments (lancé par Serge Schoen, ex-CEO de Louis Dreyfus Company).
Breega Capital est ici le seul actionnaire historique à remettre au pot. A noter que l’équipe dirigeante perd la majorité des parts à l’issue de l’opération, le fondateur Patrick Asdaghi restant cependant premier actionnaire.
Cette enveloppe permettra à FoodChéri de financer les infrastructures logistiques et les recrutements nécessaires à l’expansion de sa zone de livraison.
Déjà disponible sur l’ensemble de la capitale et sur une partie de la petite couronne (Neuilly, Levallois, Boulogne-Billancourt…), la jeune pousse compte couvrir l’ensemble de la périphérie parisienne dans les prochains mois – avant de se développer en région et dans d’autres capitales européennes.

 

Conseil juridique cible : Thomas Saltiel