DEMETER investit dans la plateforme collaborative d’Hyperplan

Retrouvez l’article original de Frenchweb ici.

 

Afin de lancer sa plateforme collaborative de suivi des cultures, l’entreprise bidartoise Hyperplan, spécialisée dans le suivi de cultures agro-alimentaires par satellite, parvient à réunir près de 4,1 millions d’euros en janvier 2023. 

 

Une solution face à un constat alarmant

 

Enterprise basée à Bidart, et créée en juin 2021, l’entreprise Hyperplan cherche à développer une solution efficace, afin de sécuriser la chaîne agroalimentaire. En combinant le recueil de données satellites, météo mais aussi en démultipliant l’utilisation de l’intelligence artificielle, cette technologie permet aux industriels de mieux anticiper leur production, et d’améliorer leurs décisions opérationnelles commerciales ou industrielles en termes d’efficacité économique, de réduction de l’intensité de CO2 et de réduction des pertes alimentaires.

 

Hyperplan analyse ces images satellites, afin de déterminer les surfaces par culture pendant la saison (2-4 mois avant la collecte, selon les cultures), pour piloter l’arrivée à maturité des plantes et piloter la progression de la collecte.

La startup a développé un algorithme de machine learning pour prévoir le volume à collecter au niveau local de l’actif industriel, anticiper les risques de sur ou capacité dans le réseau (points de collecte, silos ou usines de transformation), anticiper les dates de démarrage et durée de campagne de collecte

 

Hyperplan a également mis en place un algorithme de recherche pour optimiser l’allocation des ressources selon plusieurs scénarios d’approvisionnement anticipés et pour optimiser le retour sur les investissements opérationnels (p.ex : CAPEX de maintenance) et investissements stratégiques (p.ex : refonte de réseau, création de filière)

 

Résultats prometteurs : cap vers l’Europe ?

 

Portée par ses 3 cofondateurs – Jean-Baptiste Kopecky (directeur technique), Victor Lamendin (directeur produit) et Ruben Sabah (directeur général) – Hyperplan vient de boucler une levée de fonds de 4,1 millions d’euros. Les bénéfices attendus par l’utilisation de la solution Hyperplan sont des gains économiques allant de 2 à 4€/tonnes de produits agricoles bruts collectés, la réduction des pertes en produits / dégradation de qualité de 10-15% et l’optimisation des stratégies d’investissement (notamment en revue de réseau industriel, création de filière).

 

J&A (Thomas SALTIELOcéane CHRISTMANN et Carla FERRON) a conseillé Demeter, BNP Paribas Développement et Polytechnique Ventures dans le cadre de cette opération.

 


 

Equipe en charge de l’opération pour J&A : Thomas SALTIELOcéane CHRISTMANN et Carla FERRON.

 

La société était représentée par Harlay Avocats (Thibault Charenton, Anouck Larreya).

 

Joffe & Associés conseille REDMAN dans le cadre de son ouvertures à Omnes Capital

Retrouvez l’article de CF News ici.

 

Joffe & Associés conseille Redman dans le cadre de son ouverture à Omnes Capital. Société fondée en 2007 (Matthias Navarro et Nicolas Ponson), le groupe immobilier Redman a annoncé ce lundi 23 janvier 2023 une première levée de fonds avec Omnes. Une première levée de fonds de plus de 20 millions d’euros. 

 

Le label B-Corp : argument de choix

Après avoir ouvert son capital à ses salariés en 2020 à hauteur d’environ 10 %, Redman a franchi une nouvelle étape actionnariale en fin d’année dernière. Le promoteur français spécialiste des opérations de réhabilitation et de requalification urbaine bas carbone, s’est ouvert à un fonds spécialisé dans le private equity et les infrastructures, engagé dans l’ESG : Omnes.

 

Lancée à l’été dernier, l’augmentation de capital de Redman a attiré plusieurs fonds financiers, français et étrangers, notamment séduits par un argument de taille : le promoteur, société à mission, est labellisé B-Corp. Il est même « le seul en France » à avoir obtenu un tel label.  Le business model de la société, qui n’est pas un simple promoteur, ne peut se réduire à un multiple d’Ebitda. Au cours de ce process, les parties ont plutôt raisonné en discounted cash flow (DCF), pour celui dont la restructuration immobilière compte pour près de la moitié de son activité.

 

Une JV lancée pour acquérir des actifs value-add

 

L’intention du groupe est clair : les actionnaires majoritaires de Redman, Mathias Navarro et Nicolas Ponson, co-fondateurs, ont souhaité s’adosser à un minoritaire pour accélérer leurs projets de décarbonation du bâti existant. Un actionnaire également positionné sur la ville du futur, les opérations bas carbone et l’ESG.

Comme Redman, le fonds de capital-investissement, également positionné sur les infrastructures, travaille à la réinvention et à la reconstruction de la ville sur elle-même. Son premier vintage, CEP 1 – également positionné en haut de bilan – a réalisé une dizaine d’investissements, totalisant 300 000 mètres carrés, parmi lesquels Geophoros avec Bouygues Immobilier, un fonds doté de 100 M€, visant des fonciers entre 5 et 15 M€. Dans la même lignée, Redman et Omnes ont décidé de doubler cette augmentation de capital de la structuration d’un véhicule pour acquérir des actifs value-add, voire opportunist, existants, à l’alignement d’intérêts tenu secret. Redman source les opérations, à travers son pipeline déjà identifié. Omnes apporte le financement en equity, complété par un effet de levier.

À travers cette JV, ils souhaitent transformer des actifs et ce, quand bien même ils n’auraient pas obtenu les autorisations administratives, sachant que Redman a déjà un savoir-faire dans la constitution de fonds de développement destinés au portage d’actifs à restructurer.

 

L’acquisition d’actif : cible prioritaire

 

La cible de la JV : des immeubles existants, dont tout ou partie de la structure peut être conservée, ainsi que des friches requérant une plus profonde requalification urbaine. Une stratégie à risque et non négligeable en travaux, tenant compte que leurs coûts ont augmenté avec l’inflation et les bouleversements de ces dernières années (crise sanitaire, guerre en Ukraine, choc énergétique…).

 

D’après les données du marché, cette hausse des coûts de construction oscille entre +15 et +30 % pour des projets haut de gamme. Rappelons qu’entre 2020 et 2021, la construction d’un immeuble de bureaux s’évaluait entre 3 000 et 4 000 €/mà Paris. Le véhicule espère réaliser de premiers investissements dès la fin du premier semestre ou au cours du second, en Île-de-France, ainsi que dans les grandes métropoles françaises, Redman étant présent dans le Sud-Est, avec une agence à Aix, tout en se développant dans l’Ouest de la France.

 

100 million d’euros de chiffre d’affaires en 2023 et doublement à trois ans

 

Unique promoteur français labellisé « BCorp », et ayant engrangé près de 90 millions de CA en 2022, Redman franchira les 100 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2023 et pourra, grâce à cette levée de fonds, dépasser les 200 millions d’euros dans les trois prochaines années. Cette opération permettra, entre autres, au groupe, d’intensifier son déploiement sur l’ensemble du territoire français. Une nouvelle étape pour la réalisation d’opérations toujours plus vertueuses : réhabilitation et construction neuve bas carbone, accueil du vivant et préservation de la biodiversité, réemploi des matériaux, usage des sols et mobilités douces.

 

Redman opère aujourd’hui sur l’ensemble de l’Hexagone, avec des antennes à Paris, Lyon, Bordeaux, Aix-en-Provence et Montpellier, regroupant près de 70 collaborateurs en promotion et plus de 170 sur l’ensemble du groupe. Il intervient aussi depuis sept ans en Afrique à Dakar, où il développe des bâtiments bioclimatiques et biosourcés, en exerceant ses activités à travers trois lignes de métier : promotion immobilière dans le tertiaire, le résidentiel et l’hospitality (investisseur-exploitant dans l’hôtellerie).

 

« Nous sommes très heureux de concrétiser un tel partenariat avec un acteur spécialiste et aussi engagé qu’Omnes. Nous avions déjà ouvert le capital du groupe aux salariés depuis 2020, cette nouvelle étape marque un tournant dans l’histoire de Redman. » stipule Matthias Navarro.

 

 

 


Investisseur : OMNES CAPITAL (ENR & BATIMENT DURABLE) , Gonzague de Trémiolles

Avocats Redman : JOFFE & ASSOCIES, Aymeric Dégremont, Charlotte Viandaz

Avocats Omnes : JEANTET, Philippe Raybaud, Thibault Willaume, Warda Zekraoui

VDD Financière : NEW DEAL FACTORY (NDF), Florence Valentin, Benjamin Piquet, Thomas Feneon

Conseil M&A Redman : CLEARWATER INTERNATIONAL

 

J&A conseille SOCADIF Capital Investissement dans le cadre d’une opération de capital développement

Retrouvez l’intégralité de l’article de Socadif ici.

 

ARJ est un groupe Créteilois spécialisé dans les services aux entreprises (PME/PMI).  Il exerce principalement en Ile-de-France au travers de trois filiales dédiées à leurs métiers respectifs. Le groupe a réalisé une acquisition stratégique avec la reprise du Groupe Delta à son dirigeant.

 

J&A conseil de Socadif Capital Investissement.Fondé en 1994 et racheté en 2015 par Morgan Djorno, le groupe ARJ propose une offre de services autour de 4 métiers principaux ; l’infogérance, la téléphonie, la gestion électronique de documents et les systèmes d’impression.

 

Reprit en 2015, le groupe ARJ s’est consolidé avec le rachat des sociétés COPIE DEP et COPYFAX ( respectivement en 2018 et 2019), et la création d’une filiale dédiée à la téléphonie, faisant bondir son chiffre d’affaires de 1 M€ en 2016 à 8 M€ en 2021.

 

L’acquisition de Delta et sa filiale bordelaise So Technologies va permettre de consolider la présence du Groupe ARJ en Ile-de-France, de développer ses activités en région Nouvelle Aquitaine, mais également de conforter son expertise dans le domaine de l’infogérance. Le Groupe ainsi constitué dépassera les 17 M€ de CA dont une bonne partie est récurrente. Le dirigeant, conseillé par le cabinet Alienor Partners, souhaite poursuivre sa politique de croissance externe sélective et créatrice de valeur pour devenir un acteur visible du service aux PME et ETI en Ile-de-France.

 

Cette acquisition a été financée par un apport en fonds propres de SOCADIF Capital Investissement, complété par une dette bancaire apportée par le CIC, le Crédit Agricole Ile-de-France (CADIF) et BPI France.

 

Morgan DJORNO, Dirigeant du groupe ARJ, stipule : 

« Les synergies tant humaines que professionnelles avec Samya Glangetas et Emmanuel David me sont rapidement apparues comme évidentes. Il me tarde de démarrer cette aventure auprès de mes nouveaux partenaires. L’acquisition de Groupe Delta est l’occasion pour nous, en nous diversifiant, de déployer notre offre de façon horizontale auprès de nos clients et prospects tout en conservant nos valeurs et maintenant nos exigences en matière de respect de l’environnement. »

 

« Nous avons été particulièrement séduits par l’enthousiasme et le professionnalisme de Morgan Djorno, qui a su en quelques années multiplier par 8 son chiffres d’affaires en diversifiant son offre de services. L’acquisition de Groupe Delta lui permet d’intégrer de nouvelles compétences d’avenir et d’étendre son rayon d’action. Nous sommes ravis de pouvoir accompagner le développement du Groupe tant en terme de croissance organique que de croissances externes ».


Intervenants de l’opérations :

GROUPE ARJ : Morgan JORNO
SOCADIF CAPITAL INVESTISSEMENT : Samya GLANGETAS, Emmanuel DAVID

 

BANQUE D’AFFAIRES :
ALIENOR PARTNERS : Ludovic RICHARD
AVOCAT INVESTISSEUR ET AUDIT JURIDIQUE :
JOFFE & ASSOCIES : Virginie BELLE, Mathilde VASSEUR

 

AVOCAT SOCIETE :
DUROC PARTNERS : Erwan BORDET, Faustine PAOLUZZO

 

AUDIT FINANCIER :
MAZARS : Isabelle TRISTAN, Cyprien BENOIT

 

PRETEURS :
CIC : David BENAROCH, Philippe GIBON
CADIF : Mickael LEVISTRE, Alma NOURBAKHT
BPI France : Alexandre VASSEUR, Mathieu GABIN, Souleymane NDIAYE

 

Cailabs lève 26 millions d’euros pour le développement de ses stations-sol optiques

Lien vers l’article de Cailabs : Article Cailabs

 

Forte de son expertise technologique et commerciale dans la mise sur le marché de produits photoniques innovants, l’entreprise Rennoise Cailabs lève aujourd’hui 26 millions d’euros, dans le cadre du dévellopement de ses solutions de stations-sol optiques.

Le tour de table a été mené par NewSpace Capital, investisseur luxembourgeois,, avec le soutien d’investisseurs existants : Definvest (fonds d’investissement spécialisé du ministère français des Armées, géré par Bpifrance en concertation avec la Direction Générale de l’Armement), Starquest, Innovacom, Safran Corporate Venture et Crédit Agricole Ille et Vilaine Expansion.

 

 

Participant grandement au développement des satellites en orbite (devant d’ailleurs dépasser les 100.000 d’ici 2030 selon certaines études), les communications lasers sont amenées à se développer afin de garantir les liaisons Terre-espace, en raison de la saturation croissante des fréquences radios.

La station-sol optique innovante conçue par Cailabs est le fruit de l’expertise acquise lors du développement de ses gammes de produits optiques précédentes. Intégrant une technologie unique de compensation des turbulences atmosphériques mise au point par Cailabs, cette station-sol rend possible des liaisons laser Terre-espace rapides, fiables et abordables.

 

Cailabs, entreprise créée en 2013, se concentrait au départ au marché des télécommunications longue distance, menant au record mondial de débit sur fibre en 2017 avec l’opérateur japonais KDDI. L’entreprise a transformé ce record en un produit d’optimisation du débit dans les réseaux locaux, améliorant plus de 5.000 liaisons dans le monde entier pour des hôpitaux, des universités ou des usines. Elle a étendu son champ d’action avec des solutions innovantes de traitement des matériaux. Ces succès reposent sur la combinaison de technologies optiques uniques développées par Cailabs, et sur l’expertise de son équipe. Ces capacités sont à nouveau mobilisées pour apporter des solutions révolutionnaires au problème de la communication au travers de l’atmosphère.

 

 

Jean-François Morizur, co-fondateur et PDG de Cailabs, stipule :«Nous sommes heureux d’accueillir NewSpace Capital parmi les investisseurs de Cailabs. Avec leur soutien et l’appui continu de plusieurs de nos partenaires historiques, nous comptons devenir leader sur le marché des stations-sol optiques et étendre notre périmètre d’offre aux liaisons navales, aéronautiques (avions, drones) et terrestres»

 

 

Le cabinet d’avocats Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Camille Malbezin, Carla Ferron) a accompagné et conseillé les parties lors de cette opération, aux cotés du cabinet Forrest Advisers (Ramsey Forrest).

 


 

Avocats associés : Thomas SALTIEL , Carla FERRON et Camille MALBEZIN.

Adamson Systems Engineering acquiert BeSlipne et Brain Modular

Joffe & Associés (Christophe Joffe, Camille Malbezin et Rudy Diamant) en coordination avec Bennett Jones (Ian Michael, Jonathan Filippone), Cabinet canadien, conseille Adamson Systems Engineering, dans le cadre de l’acquisition de BeSpline et Brain Modular.

 

Mardi 15 novembre 2022, Olivier Sens, Sylvain Thevenard et Arnault Damien, dirigeants respectivement les groupes BeSpline & Brain Modular, ont signés la cession du contrôle de leurs entreprises à Adamson Systems Engineering. Basée à Toronto, au Canada, Adamson Systems Engineering est une entreprise spécialisée dans les technologies de haut-parleurs pour le secteur de l’audio professionnel.

 

Depuis plus de 30 ans, les haut-parleurs Adamson sont un élément essentiel des tournées mondiales et des festivals, et sont installés dans certains des lieux les plus prestigieux du monde. Les groupes BeSpline et BrainModular, sont spécialisées dans la spatialisation du son par objet.  BeSpline est notamment créatrice du dispositif « Fletcher Machine » qui, grâce à une localisation d’amplitude et de temps, permet à l’auditeur une connexion directe à la musique.

 

Cette opération permettra au groupe Adamson Systems Engineering de renforcer sa présence dans le secteur de l’audio professionnel, grâce à l’intégration de ces produits, services, et procédés technologiques innovants. Adamson Systems Engineering souhaite étendre son influence sur le marché des haut-parleurs pour le secteur de l’audio professionnel, et devenir un leader influent dans ce domaine.

 


 

Avocats associés : Christophe JOFFE, Rudy DIAMANT et Camille MALBEZIN.

FAUME engage une levée de fonds de 7 millions d’euros

FAUME est une plateforme en ligne permettant aux marques de mettre en place des solutions et infrastructures liées à la mode de seconde main.

 

 

Lancée en 2020, Faume est une entreprise ayant pour ambition, de permettre aux marques de s’emparer du marché de l’occasion en proposant une solution technologique et logistique associée. C’est dans ce contexte que la startup Faume lève 7 millions d’euros auprès de Daphni et de son investisseur historique Bpifrance, via son fonds Digital Venture, pour aider les marques haut de gamme à proposer une offre de seconde main. A noter que l’entreprise avait déjà levée 2 millions d’euros en juin 2021.

La startup parisienne met en effet à disposition des marques un site e-commerce personnalisable à travers lequel leurs clients peuvent renvoyer gratuitement leurs produits. Selon les 4 fondateurs de la société (Aymeric Déchin, Nicolas Viant, Jocelyn Kerbourc’h et Lucas Patricot) l’universalisation de la seconde main dans la mode serait réalisée par des marques ayant une offre répondant aux attentes des clients : les exigences, et la qualité du neuf.

 

La startup accompagne déjà plus de 30 marques européennes, comme Isabel Marant, Aigle, SANDRO, Balzac Paris, HUGO BOSS, The Kooples, AMI PARIS, et maintenant BA&SH, se sont engagées dans cette démarche aux côtés de Faume. Les valeurs mises en avant par FAUME sont claires : des transactions circulaires, moins polluantes, le tout sans compromis sur le sens de la mode des clients.

Cette levée de fonds a été mené par le fonds Yellow de FAUME, aux côtés de Bpifrance Digital Venture et d’autres grands BA (Thibaud Hug de Larauze, Stanislas de Quercize, Michael Benabou, BERRY SERVICES, etc).

 

« L’expérience client est au cœur de notre proposition de valeur. Les marques doivent en effet apporter une expérience différenciante par rapport à ce qui existe aujourd’hui, notamment face aux plateformes comme Vinted, Vestiaire collective ou LeBonCoin, qui ont démocratisé l’usage » explique Aymeric Déchin.

 


 

Avocats associés : Thomas SALTIEL, Mathilde VASSEUR et Charlotte VIANDAZ.

Medsenic fusionne avec Bone Therapeutics

Lien vers l’article de CF News : Article Medsenic

 

Afin de lancer la phase 3 de son étude clinique sur le traitement par des sels d’arsenic de la maladie chronique du greffon contre l’hôte, la société strasbourgeoise Medsenic fusionne avec le belge Bone Therapeutics, société spécialiste de thérapie cellulaire en orthopédie, le 25 octobre 2022. Medsenic mène désormais ses essais de médicaments à base d’arsenic outre-Quiévrain.

 

 

Le closing fait suite à la réalisation de tous les précédents conditionnels et à l’approbation de la transaction lors de l’assemblée des actionnaires (‘ESM’) de Bone Therapeutics, qui s’est tenue dans la journée du lundi 24 octobre 2022.

La majorité des actionnaires de la société Medsenic, a vendu 51 % du capital contre des actions de Bone Therapeutics, sur une valorisation estimée à 40 millions d’euros.

 

Rebaptisée BioSenic à la finalisation de l’opération, l’entreprise est désormais emmenée par le président actuel de Medsenic, François Rieger, nommé pdg, épaulé par Véronique Pomi-Schneiter et Anne Leselbaum (directrice médicale de Bone). Jean-François Rax, le représentant de Capital Grand Est, siège au conseil d’administration de Bone Therapeutics, qui a prévu de racheter les 49 % restants sous trente-six mois.

Cette fusion va permettre à la société de devenir le centre scientifique du nouvel ensemble, en élargissant son portefeuille thérapeutique au-delà de ses essais actuels.

 

« Cet accord avec Bone Therapeutics met en évidence la valeur des activités hautement complémentaires de Medsenic, offre à nos actionnaires une valeur attrayante et certaine, et rassemble une expertise de pointe et des plateformes d’administration de médicaments pour accélérer la croissance et créer de nouvelles opportunités », stipule François Rieger, président et chef de la direction de Medsenic.

 


Avocats référents :

Christophe Joffe, Océane Christmann et François Galéa

 

Les intervenants de l’opération :

Société cible : MEDSENIC

Acquéreur ou Investisseur : BIOSENIC(EX BONE THERAPEUTICS) Jean Stéphenne

Cédant : CAPITAL GRAND EST FA DIESE OUEST ANGELS CAPITAL , BUSINESS ANGEL(S)

 

La Banque des Territoires participe à la levée de fonds de 5,5 M€ de Dracula Technologies

L’entreprise créatrice de cellules photovoltaïques, à partir d’une encre organique, (créées pour alimenter les objets connectés de basse tension) entre en phase de production. Elle ouvre en effet sa première usine à Valence, dans la Drôme. Elle est parvenue à lever près de 5,5 M€ auprès de La Banque des Territoires (pour le compte de l’Etat, dans le cadre du programme Territoires d’innovation du plan France 2030), du fonds souverain d’Auvergne-Rhône-Alpes et de l’industriel américain Semtech.

 

Après une dizaine d’années de développement, Dracula Technologies a réussi à mettre au point sa technologie photovoltaïque, et à en industrialiser la production.

À ce jour, la société dispose d’une capacité productive annuelle de centaines de milliers de cellules, et envisage de dépasser la barre du million grâce à une nouvelle levée, réalisée cet été, de 5,5 M€.

 

Cette opération permet aujourd’hui à Dracula Technologies d’étoffer son équipe commerciale et d’accroître sa présence à l’international, à l’aide du réseau de son partenaire industriel. L’objectif étant d’accélérer la distribution de ses modules photovoltaïques organiques (OPV), solution de rupture pour la transition énergétique. A ce titre, l’entreprise s’apprête à investir une douzaine de millions d’euros dans une unité de fabrication. En doublant ses effectifs d’ici la fin 2023, l’entreprise entend bien remplacer les matériaux polluants des appareils électriques, par des cellules photovoltaïques, sans matériaux rares.

 

 

« Nous avons une capacité de production de l’ordre de 15.000 modules par semaine, qui nous permet de livrer des préséries. Notre objectif est d’atteindre 10 millions de modules par an dès la fin de l’année prochaine » stipule Pascal Pierron, co-fondateur.

 

Pour consulter l’article : Article CF News

 

 


 

Avocats référents : Aymeric Dégrémont, Camille Malbezin

 

Les intervenants de l’opération :

  • Cible : DRACULA TECHNOLOGIES
  • Investisseurs : BANQUE DES TERRITOIRES , Gabriel Giabicani , SIPAREX , Pierre Taillardat , SEMTECH CORPORATION , Alistair Fulton
  • Conseil cible :  ARCHERS , Kamal Naffi
  • Conseils investisseurs : JOFFE & ASSOCIES , Aymeric Dégremont, Camille Malbezin (pour Banque des Territoires), BIRD & BIRD, Bertrand Lévy (pour Semtech)
  • Conseil levée de Fonds : LEUWEN (EX LEUWEN & CIE) , Alexandre Henault , Alexandra Matzneff

Outsight lève 22 millions d’euros pour le développement des Lidars

OUTSIGHT LEVE 22 MILLIONS D’EUROS POUR LA MULTIPLICATION DES USAGES DES LIDARS

 

Pour consulter l’article : Article LES ECHOS

 

Outsight séduit avec son logiciel d’analyse des données Lidars ( Light imaging detection and ranging, capteur détectant l’environnement en 3D). Utilisés notamment pour traiter des quantités massives de données 3D de véhicules intelligents, ou pour le flux de passagers dans les aéroports, le 3D Lidar d’Outsight n’est désormais plus destiné uniquement aux véhicules autonomes, et servent aujourd’hui divers secteurs … Parmi eux, la sécurité, la logistique ou encore l’aviation.

 

L’entreprise évoque évoque trois marchés pour son logiciel : l’infrastructure (le suivi des personnes dans les aéroports ou les centres commerciaux, les villes intelligentes pour la compréhension du trafic et des interactions entre les usagers) ; les véhicules (véhicules autonomes, mais également les équipements de construction et de manutention afin de renforcer la sécurité), et  l’industrie pour renforcer la sécurité des personnes, et éviter les collisions ou même des applications dans la mesure de volumes pour évaluer la valeur des stocks dans les entrepôts ou les mines.

 

« Notre rôle en tant qu’éditeur de logiciel est de transformer les données issues des capteurs 3D en informations utilisables dans tout un tas d’applications » développe Raul Bravo, co-fondateur et président d’Outsight. « L’idée est de démocratiser le Lidar et de l’ancrer dans le plus de secteurs possibles ».

 

Outsight a annoncé le 20 octobre 2022, avoir levé près de 22 millions d’euros auprès d’Energy Innovation Capital (EIC), du Fonds Innovation Défense géré par Bpifrance, de BNP Paribas, SPDG, le Groupe ADP, Demeter, Safran et Faurecia. Cette participation du Fonds Innovation Défense qui souligne l’intérêt grandissant du ministère de la Défense pour ce type de technologie. Cette solution fait d’Outsight un pionnier et un leader sur son marché.

Répartis entre Paris, Sofia Antipolis et San Francisco, Outsight compte aujourd’hui plus de 80 collaborateurs. La start-up revendique des dizaines de clients comme ADP, Stellantis, ECA Robotics ou encore Dunakontroll. Elle lève ces fonds pour continuer ses développements et séduire un nombre croissant de clients.

 

Conseil juridique : Thomas SALTIELCamille MALBEZIN et Rudy DIAMANT.

Le startup studio Imagination Machine lève près de 10 millions d’euros

Article FRENCHWEB.FR

 

Le startup studio Imagination Machine lève près de 10 millions d’euros pour lancer sa deuxième promotion de startups à impact socio-environnemental. Imagination Machine a déjà lancé 8 startups à impact depuis sa création en 2017, qui comptent au total 150 collaborateurs et ont levé 24 millions d’euros.

 

Fondé par Rob Spiro, serial entrepreneur californien et Émilie Abel, ex-Directrice exécutive X-HEC entrepreneurs, le startup studio basé à Nantes lance un appel à candidature pour recruter les fondateurs de ses 10 prochaines startups à impact positif, qui peuvent être basés partout en France ou en Europe. « Notre équipe est constituée d’entrepreneurs », explique Émilie Abel. « Nous ne sommes pas seulement dans une posture d’investissement mais aussi dans une posture très opérationnelle ».

 

Cette levée de fonds a été menée par 35 investisseurs, parmi lesquels des institutionnels tels que le fonds French Tech Accélération 2, du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), géré pour le compte de l’Etat par Bpifrance dans le cadre de l’action publique French Tech, la Caisse d’Epargne Bretagne Pays de Loire, CIC Ouest et des investisseurs privés à impact avec Avelana, Enowe, Cameleon. Des industriels ont également pris part à l’opération tels que les groupes Cetih, Idea, Armor et Eram, ainsi que des entrepreneurs, comme Francis Nappez (BlaBlaCar, Hectar), Fred de Gombert (Akeneo) ou encore Alexandre Launay (Stampyt).

 

« Chez Imagination Machine, nous créons des startups à fort potentiel qui ont vocation à se déployer à l’international, parce que c’est en étant ambitieux sur la cible à atteindre qu’on aura réellement un impact à grande échelle », conclut Rob Spiro, CEO et fondateur d’Imagination Machine.

 

Conseil Juridique : Thomas SALTIEL, Océane CHRISTMANN et Mathilde VASSEUR